Thobari Hatori Professeur d'Arts à l'Université
Nombre de messages : 21 Age : 40 Localisation : Dans ton regard Emploi/loisirs : Dessinateur Humeur : Étrange Date d'inscription : 04/12/2009
Personnage Age du personnage: 25 Logement: Maison Hatori Relations:
| Sujet: Thobari Hatori (Ne pas lire si coeur sensible, conseiller au personne majeur) Ven 4 Déc - 2:08 | |
| Hatori Thobari© By Ino Niwa
| • Nom : Hatori • Prénom : Thobari • Surnom : Aucun.
• Âge : 25 ans • Date de naissance : 3 mars
• Nationalité : Japonais • Lieu de naissance : Kyōto
• Orientation sexuelle : Bisexuel • État Civil : Célibataire
• Poste : Enseignant en Art à l'Université • Appartement du Campus : Maison Hatori • Études : Il n'a jamais fini ses études. Il arrêta d'aller à l'école vers l'âge de 13 ans, donc il ne sait pas rendu plus loin que le collège. Pourtant, il a une très bonne culture.
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Oh, miroir, mon beau miroir... Chaque moment de ma vie se retrouve gravé sur ma peau.
• Physique • Thobari un homme avec une élégance née. Lorsqu'on le voit de loin on ne lui porte généralement pas grande attention. C'est lorsqu'il se tien près de vous qu'il dégage une forte impression. Il sait très bien comment attiré les regards, mais cela l'exaspère souvent. De plus sa grande taille n'aide en rien pour qu'il reste incognito. Faisant environ 1m91 et avec une silhouette étroite, on pourrait presque dire qu'il est un curdent humanoïde. Pour rien n'arranger, il n'a presque aucun muscle apparent, bien qu'il s'entraine en pratiquant des sports divers.. Ses quelques muscles qu'on peut voir, se trouve surtout sur ses bras et ses abdominaux. Étonnamment, il a garder la couleur naturel pour ses cheveux. Un noir ébène, sans reflet... Ils sont aussi doux que la soie et retombe le long de ses joues. Il les porte mi-long, enfin plutôt court pour certain. Il les porte plus long sur la nuque. Quelque mèches retombe sur le rebord de sa mâchoire, durant qu'une frange couvre son front. Il a même un coq à l'arrière de son crane, à la base de la rosette de sa chevelure. Ce coq reste généralement en l'air sans l'aide du gèle. Son regard, qui cache toute ses pensées, est d'un bleu gris. Ses prunelles clairs cache un passé lourd, mais aussi des émotions qui peuvent se réunir avec la joie... mais celle-ci sont bien cacher.... Il préfère rester mystérieux et affiché un air blasé. Quelque cicatrices recouvre son corps, d'ailleurs son dos en est couvert. Une qui a dut lui faire très mal, se trouve sur sa cuisse droite, partant de son bassin parcourant le coté extérieur e sa cuisse et se rendant jusqu'à son genoux. Il en trouve aussi à chacun de ses poignets. Celles-ci on été faite après qu'il aille voulu faire une tentative de suicide qui fut raté a son plus grand regret. Pour cacher ses nombreuses cicatrices, il s'est fait tatouer des scènes. Sur son dos se trouve une scène regroupant presque tout les personnage de CLAMP , en dessous de celui-ci ce trouve un tatouage des plus surprenant... Bien qu'il ne se souvient plus quand il se l'est fait faire, mais maintenant il est pris avec ceci pour le reste de ses jours... Il est écrit dans une écriture gothique : Come in me. Sur sa cuisse se trouve un tatouage d'un couple shonen-ai*. Sur son avant bras intérieur droit on peut voir un caméléon squelettique. Du coté gauche on peut voir des poissons chinois qui tourne autour de son avant bras. Il s'est fait aussi percé à quelque endroit sa verge comme ses deux mamelons. * Voici l'image qui a été tatouer sur la cuisse de Thobari : https://media.photobucket.com/image/yaoi/anime_goth_popRox/Yaoi/53fd.jpg?o=1757• Tenue vestimentaire • Pourquoi s'habiller? C'est ce que pourrait vous dire Thobari, mais hélas la vie n'est pas fait ainsi. Nous devons porter des vêtements et ce cher enseignant ses résigner à le faire. Lorsqu'il enseigne, il porte toujours une chemise blanc. Il la déboutonne dévoilant son torse. Autour de son cou, une cravate noir, qu'il ne noue pas. Il préfère la laisser retomber ou la mettre dans la poche de son veston qu'il laisse sur le dossier de sa chaise dans son bureau. Il porte généralement des skinny noir ou blanc. Pour les soulier il fut un temps où il aurait porté des cap d'acier, mais aujourd'hui il aime mieux mettre des converse ou des vans. En dehors des heures de travail, ses habits sont plus décontracté. Un tee-shirt noir et des jeans font très bien l'affaire. Bien que lorsqu'il est chez lui, il a des tendances à se promener nu. Il n'a aucune gêne...
Qui suis-je réellement? Nous cachons tous une parcelle de nous au plus profond de notre coeur.
• Qualités et défauts • Bien que Thobari soit un homme plutôt froid, il a certaine qualités qui le rend supportable. Étant devenu enseignant, il a apprit à écouter ses élèves. Bien qu'il travail maintenant à l'université, il prend quand même le temps d'écouter ce que ses anciens élèves du lycée ont à lui dire. Il se trouve qu'il est très travailleur, lorsqu'on lui remet des projets, il les étudie sur tout leur coutures avant de leur donner une note. Cependant, lorsqu'il est en dehors de l'école ou dans les couloirs, il affiche un visage froid. Plusieurs personnes le trouve mystérieux. Il ne parle jamais de lui ni ce qu'il fait à l'extérieur de l'école... Personne ne sais non plus ce qu'il lui est arrivé dans le passé. En se qui concerne sa vie, il tien tout cela mort! On ne lui adresse que très rarement la parole, il semble trop imposant pour oser aller lui parler. Et il semble aussi se contre ficher du monde. Pour lui l'humanité n'est autre que des gens qui ne font que répéter la même chose à longueur de temps ; dormir, manger, travailler, baiser, dormir... Il n'était guère l'exception à la règle! Coté relation humaine, Thobari était quelqu'un qui était très bagarreur. Cherchant les noises à la moindre occasion. Tout ceci était dut à son lourd passé.. De plus il est très sexuellement actif, il va chercher toute les occasion possible pour se farcir quelqu'un. Que ce soit avec un homme ou une femme il est l'être actif dans la relation. Tout ceci est très bien apparent dans son regard et sa manière d'être. Étrangement, il se trouve qu'il est très possessif... Va savoir pourquoi il agit comme cela, lorsqu'il peut être aussi volage. | | | • Aime et déteste • Le mot aimer est bien faible pour certaine chose qui concerne Thobari. On pourrait plutôt dire qu'il en est addict, il ne pourrait pas vivre sans ces choses là; la cigarette, l'alcool, le sexe, l'art, le sport... Il aime bien entendu d'autre chose, mais ceci se résume spécialement à ces choses! La cigarette moyen pour lui de rester calme, il prend presque un paquet par jour. Ceci diminue son stress qu'il accumule par moment. Tout comme l'alcool... Il aime bien prendre une bière de temps à autre dans un pub. Mais il préfère de loin le saké ou le fort. D'ailleurs il a une armoire rempli de saké chez lui. Dans un futur proche peut-être devrait-il se faire une cave à saké? Il tien aussi très bien l'alcool, alors cela ne sert à rien d'essayer le saouler pour pouvoir avoir quelque chose de lui... Il suffit de demander et vous aurez sa réponse! Le sexe, sa vrai drogue... Il ne peut pas passer une journée sans rien faire. Il est prêt à aller jusqu'à se prostituer, gagnant de l'argent par la même occasion. Mais il ne cherche pas à montré cet adoration devant ses élèves ni ses collègues. Il n'a pas le choix, il doit garder ce travail... De plus dans l'acte, il est celui qui est actif, que se soit avec une femme ou un homme. Jamais au grand jamais, il ne laissera encore quelqu'un le pénétré. Il aime aussi avoir des aventures qui regorge de surprise. Il est rendu tanné de ne faire que rentré sa verge dans la cavité de quelqu'un... Il lui arrive même d'être sadomasochiste lorsqu'il trouve qu'il manque d'action. Thobari est quelque peu trop obsédé par le sexe... C'est a ce demander d'où lui est venu cet tendance? L'art est une chose qui le passionne. Il a découvert ceci il y a peu de temps et maintenant il ne peut s'en passé. Il adore rester des heures devant une toile, quel soit peinte ou simplement blanche. Humer l'odeur de la peinture qu'il dépose sur la toile est pour lui un aphrodisiaque puissant. Pourtant, il ne serait pas capable de se taper quelqu'un devant des oeuvres. Ceci le bloquerait, comme s'il croyait que cela allait pervertir cette beauté pure. Il adore enseigner cet art qui le passionne, bien que l'on dit souvent que tout a été fait, lui il persiste à croire que dans chaque personne se trouve de nouvelle idées et qu'il ne reste qu'à les découvrir! Le sport! Meilleur moyen de se défouler... Depuis, sa tendre enfance il a pratiquer de multiple sports et il garde cette passion. Il aime tout particulièrement le basket, le kendo, le karaté et le roller. Bien qu'il n'a jamais jouer dans des équipes, il pratiques régulièrement ses sports. Il aime tout particulièrement faire du roller dans la rue en compagnie de son chien, un grand danois arlequin prénommer Imagasé. Ce que déteste Thobari... Rien de plus que son père. L'être qu'il maudit le plus sur terre. Cet être qui lui a fait détester l'argent... Car l'argent ne peut pas tout donner, même si elle a un très grand pouvoir sur les gens. Il y a certes des choses qu'il n'aime pas, comme les Sainte-Nitouche... Il les trouve déplorable.. Mais elle lui apporte un coté qu'il aime bien. Lorsqu'il les défleure, leur faisant pousser des cris de plaisir et de plainte. Ceci l'excite bien plus que le simple souffle de quelqu'un dans son cou. Mais reste que lorsqu'elles sont têtue, il lui arrive de perdre patience et de perdre tout contrôle de lui-même! Autre chose qu'il ne porte pas dans son coeur, l'autorité, il a bien de la misère avec celle-ci! Même s'il se montre "sage" durant son travailler à l'extérieur c'est une tout autre histoire... Mais il s'est calmé depuis quelque années. |
Qui vivra, verra... Je vis au jour, le jour.
• Histoire • Venant de la bouche de psy, ils diraient sûrement que l'attitude de Thobari a été causé par un choc durant sa jeunesse. Peut-être que ceci est vrai, mais pour Thobari sa vie n'est que malheur.... Née d'une famille qui avait beaucoup de pouvoir au Japon, mais qui avait tout perdu en si peu de temps... Son père, qui voulait faire de lui l'héritier de la famille Hatori, dut vendre ses deux enfants. Lui et sa soeur aînée fut vendu pour 10 millions de yens à des familles riches qui pourraient refaire la fortunes de la famille Hatori. Il se retrouva donc dans la famille Shibamura, famille où il ne trouva pas sa place... Sa soeur se trouvant loin de lui et se retrouvant tout seul avec un homme célibataire. Otomo Shibamura, un homme dans la vingtaine dirigeant une des plus grosse entreprise de robotique. Seulement 10 ans et déjà abandonné.. Vers l'âge de 11 ans, il compris le rôle qu'il aurait dans cette maisonnée. Lors d'une nuit, couché dans son lit, il entendit la porte de sa chambre s'ouvrir. Ouvrant un oeil lorsque sa couette quitta ses épaules. Il entendit la voix de son propriétaire, avant que la main de celui-ci s'abatte sur sa bouche. Ne comprenant rien, il commença à se débattre, mais sa force était faible contrairement à l'homme qui lui abaissa son boxer. «Je serai doux avec toi», c'est ce qu'il lui avait souffler au creux de l'oreille avant d'écarter ses petites fesses blanches. Le garçonnet se débattait du mieux qu'il pouvait, mais il n'arriva à rien et fini par sentir son anus s'écarter. La verge de l'homme qui l'avait acheter s'enfonçait en lui, salissant son corps d'enfant pure. Il voulu pousser un cri de douleur, mais la main bloquant sa bouche, il ne pouvait rien faire. Ses doigts se crispant sur ses draps, des larmes embuant ses yeux clairs. Après une heure, il se retrouva seul... Son petit corps étendu sur le ventre, ses cuisses ruisselant de sang et de sperme, tachant ses draps blancs. Son visage, qui aurait du être paisible tout en dormant si l'autre n'était pas venu cette nuit dans sa chambre, était couvert de larme. Ses petits doigts retenaient toujours les draps et durant tout le reste de la nuit il eut peur que celui-ci revienne le voir. Il ne savait pas pourquoi il lui faisait ça... Mais depuis cette nuit ceci était devenu un rituel qui dura approximativement deux ans. Ses nuits changèrent le jour où l'homme qui l'avait acheter arriva accompagné d'une femme. Cette femme était d'une grande beauté, il fut même gêner de la regarder. Mais elle ne valait pas mieux de l'homme. Durant que sont nouvel époux avait le dos tourné, elle faisait des façon à Thobari. Pour rien n'arranger, cette garce avait cinq enfants.. C'était a ce demander si elle se prostituait pas!? Mais il en avait rien a faire! Jusqu'au jour où l'aîné, de deux ans plus vieux que lui, fit sa loi. «Jamais il ne t'aimera plus que moi.» Franchement, il n'en avait rien a chier que ce pervers aime plus l'autre que lui... Au contraire s'il pouvait se débarrasser de ce connard, il le ferait volontiers! Cependant, ce n'était pas l'avis de cet enfant à papa... Il le battu jusqu'à ce que Thobari ne soit qu'un amas de chair et d'os coller au sol, gisant dans une flaque de son propre sang. Là, il en avait marre, se faire abuser, harceler et butter... Il voulait quitter cette maison au plus vite. Il décida donc de sortir chaque nuit. Déambulant dans les rues sombres de la ville, il fit la rencontre d'une gang de rue... Il passa le plus clair de son temps avec eux... Enfin seulement durant six mois, car ensuite il se lassa d'eux. Un soir, il finit par aboutir dans un bar, bar qu'il allait pour la première fois visité. Il était entré dans le premier qu'il avait vu... Bien qu'il soit loin d'avoir l'âge pour y entré, avec sa grande taille et son regard froid personne ne posait de question. Il alla s'asseoir au comptoir et demanda un triple scotch. Le verre se tenait devant lui, il regardait le liquide, son coude prenant appui sur le comptoir collant. Il avait déposer sa tête sur le dos de sa main, sa jambe l'élançait. Elle était vraiment douloureuse, mais il n'était pas là pour rien.. Un triple scotch pour essayer d'oublier! Il se sortit une clope qu'il glissa entre ses lèvres. Cherchant son zippo dans ses poches, mais quelqu'un fut plus rapide que lui et il vit une flamme allumer son bâtonnet blanc. Son regard bleu sombre se tourna vers la personne qui lui avait allumer sa clope. C'était un garçon, même s'il paressait vieux, Thobari lui savait tout à fait qu'il devait avoir le même âge. Il le remercia d'un mouvement de tête et avala une bonne partie de son verre. Étonnamment le garçon à coté de lui continuait de le regarder, sans broncher. Soupirant il se retourna vers lui et attendit que celui-ci parle. «Sa te dit d'aller en arrière?» En arrière... Que voulait-il dire? Néanmoins il accepta de le suivre et découvrit pour la première fois ce que c'était qu'un backroom*. Bien que ses relations c'était diriger vers les filles depuis sa sortie avec cette gang de rue... Mais il découvrit quelque chose de nouveau. La tendresse qu'il pouvait y avoir à se faire enculer. Il commença donc a se tenir dans des bars gay, faisant le plus clair de son temps des one night. Se retrouvant dans des motels miteux avec des inconnus. Quelque fois faisant de simple fellation, d'autre allant plus loin poussant à l'extrême. Personne ne se doutait que ce garçon n'était encore qu'un enfant.. Mais il ne voulait en aucun cas retourné passer une nuit chez l'homme qui l'avait acheter. C'est a partir de ce moment qu'il commença à devenir dépendant du sexe. Il retourna à plusieurs reprise dans des backrooms, et alla même jusqu'à essayer un glory hole* en suçant la verge d'un mec totalement inconnu. Il fit cependant la rencontre d'un homme dans la fin trentaine. Celui-ci lui portait une affection allant près de l'harcèlement sexuel. Mais il aimait bien se donner a lui, sa verge écartant ses chairs... Des caresses brutes, sans plus d'affection. Il savait très bien que cet homme ne voulait que son corps et lui s'en fichait... Il savait même que cet homme était marier et avant deux enfants. Thobari n'avait aucun remord envers cette famille inconnu, il voulait simplement être baiser. Mais juste un peu avant qu'il atteigne ses 16 ans, l'homme découvrit son véritable âge. Fou de rage, il le essaya de le battre jusqu'à sang, allant même jusqu'à le violer, simplement en se disant qu'il avait fait un détournement mineur... Ces actes en ce moment n'était-elle pas pire? Ne perdant pas une seule minutes Thobari alla chercher quelque chose qui pourrait l'aider. Il devait oublier les arts martiaux, car contre son sensei il ne pourrait rien faire... Hélas! Il se devait de trouver un autre moyen pour se défendre. Se trouvant complétement nu sa jambe ruisselant de sang tout comme son dos.. Il courut jusqu'à la cuisine où il empoigna un couteau. Aussitôt qu'il sentit l'emprise de l'homme sur lui, il se retourna et lui trancha la gorge. Il reçu en plein visage une giclée de sang qui couvrit son visage presque en entier. Son "amant" tomba au sol et d'un revers de main le garçonnet essuya ses yeux. Il regarda le corps devant lui qui était entrain de se vidé de son sang. Il émit un soupir et alla dans la salle de bain. Il se regarda dans le miroir, il venait d'appeler les urgences avant d'arriver devant ce dit miroir.. Mais il ne se souvenait même pas qu'est-ce qu'il leur avait dit. Pour la première fois de sa vie, il se dit que mourir sa valait mieux pour lui. Empoignant le même couteau qui lui avait servit à tuer son amant, il s'ouvrit les veines, laissant son dos glissé sur le mur froid. Il se réveilla à l'hôpital, des bandages recouvrant ses poignets. Il regardait le plafond blanc et fade. Ce n'est que lorsque quelqu'un s'adressa a lui qu'il fit un effort pour le regarder. Ce n'était autre qu'un policier qui lui posa une panoplie de questions. Il leur répondit avec un ton distant et froid allant même jusqu'à montré une attitude blasée par les circonstances. Le jour suivant sa sortie de l'hôpital, il se retrouva dans un juge de la jeunesse. Il fut condamné à cinq ans de prison juvénile. À la rigueur il aurait bien pu faire c'est deux ans sagement, mais c'est lorsqu'il vint pour quitter la salle du procès qu'il remarqua la femme de l'homme qu'il avait tuer. Elle le regardait un des yeux rempli de haine, il venait de lui retiré l'être qu'elle aimait, le père de ses enfants... Mais savait-elle que son mari ne l'aimait pas et préférait les hommes? Savait-elle que l'homme soit disant parfait qu'elle avait épousé pensait à son amant durant qu'il devait la baiser? Il lui avait même déjà dit qu'il détestait ses enfants... Puis son regard se posa sur Shibumura qui était accompagné d'un homme au cheveux noir. Leur visage étaient dure, mais Thobari en avait rien à faire. Il se doutait que l'homme près de son propriétaire devait être son père.. Mais il ne lui restait plus aucun souvenir de lui et c'était mieux ainsi. Menotte au poignet il quitta la salle de justice. Condamné à cinq, on aurait pu dire qu'il était non coupable, simplement parce qu'il avait fait de l'autodéfense. Cependant, ce fut juger d'une autre manière... Il se retrouva dans une cellule qu'il partagea avec deux autres garçons, l'un plus vieux que lui et l'autre semblait avoir le même âge environ. Il les regarda et prit place sur un des lits libres. Il ne perdit pas longtemps à faire sa loi dans cet endroit. Dominant la plus part des gros bras de l'endroit, cela lui permettait de rester tranquille. Comme il dominait les mecs dans sa chambres facile! Le plus vieux avait essayer de le violer une nuit, mais étrangement les rôles c'était inversé. Maintenant chaque nuit ils faisaient des "partouses" à trois. Pour les autres détenus c'était facile, il c'était assez battu dans sa vie pour les éclater tous... Il était chef du groupe qui jouait au basket et gagnait généralement tout les petits tournois qui était organiser. Il s'était créer un nom dans cet prison juvénile. Tout changea le jour où une femme fit son apparition dans la prison. On l'avait engagé pour donner des cours d'art au détenu. Mei Otami, une jeune femme dans le début de la trentaine, peut-être bien 31 ou 32 ans. De long cheveux noir accentuant sa finesse. Thobari fut inscrit de force à ce cours, on voulait qu'il se calme, chahutant tout l'établissement n'était guère de bonne envergure pour lui. Il se présenta donc à ce cours d'art, accompagné de ses chiens de poches. Il était déjà blasé de se trouver là, elle n'avait même pas encore dit un mot, qu'il lui fumait au visage et la reluquait comme si elle était un jouet. Pourtant, cette simple femme avec beaucoup d'effort réussit à faire tenir un pinceau dans les mains de Thobari. Il découvrit à ce moment là la peinture. Il avait de plus en plus envi de découvrir cette nouvel chose. Les autres détenus quittaient peu à peu le cours, laissant finalement Thobari seul avec la jeune femme. Une passion naquit cette année là, l'année de ses 17 ans. Voyant qu'il avait du talent, Otami alla voir une galerie de peinture et étonnamment on exposa l'oeuvre de Thobari. Elle fut de se même vendu plutôt rapidement. Pour pimenté le tout le garçon avait une liaison plutôt intime avec son enseignante. Tout changea néanmoins, la femme prit sûrement peur, car elle quitta la prison après un certain temps... Laissant le nouvel artiste retomber dans le minimum de délinquance. Dans cette même année il eut pour la première fois de la visite... L'homme qu'il avait vu au coté de Shibumura lors de son procès. Celui-ci était bien son père, il vint lui annoncer qu'il était maintenant libre. Enfin libre... Il n'appartenait plus à Shibumura, mais n'avait pas plus de nouvel famille. Son père voulait bien le reprendre, mais avec ses antécédents il ne pourrait pas faire de lui son hériter. Il lui annonça que sa soeur se portait bien et qu'il était maintenant frère d'un petit garçon d'à peine un an. Il resta froid à toute les paroles de l'inconnu, il venait de reprendre le nom des Hatori, mais il n'en était pas plus fière. Osé vendre son fils et le reprendre huit ans plus tard... C'est âgé de 20 ans qu'il quitta la prison, une année plutôt pour bonne conduite depuis un an. Il était seulement maintenant seul.. Il n'avait pas fini ses études, son père ne voulait rien savoir de lui.. Il n'était plus rien dans cette vie. Bien que son père ne voulait pas qu'il s'approche de leur famille, ne voulant pas qu'il donne une mauvaise influence à son frère. Il lui trouvait une maison, où il pourrait vivre et lui trouva un emploi avec ses contacts. Il allait devenir enseignant au lycée en art! Ne pouvant pas refuser, il alla donc commencer a travailler comme enseignant et au bout de quatre ans, il demanda un transfère pour aller enseigné à l'université. C'est sa première année comme professeur à l'université... Est-ce que tout se déroulera bien? * Backroom : Une backroom, ou salle arrière, appelée aussi darkroom, est une salle présente dans certains bars gays, où les consommateurs peuvent se rencontrer dans l'obscurité pour des relations sexuelles anonymes sans pour autant se déshabiller. Cette salle est le plus souvent aménagée en labyrinthes et petits compartiments agrémentés parfois d'un Glory hole.
* Glory Hole : Un glory hole (anglicisme signifiant littéralement « trou de la gloire ») est un trou pratiqué dans un mur ou une cloison dans le but : • soit d'observer une personne située de l'autre côté, éventuellement en se masturbant, • soit de permettre l'insertion d'un pénis en érection, afin d'avoir un rapport sexuel avec la personne située de l'autre côté (masturbation, fellation, pénétration vaginale ou anale). Les particularités du glory hole sont qu'il permet de conserver son anonymat et qu'il assure une séparation physique entre les partenaires.Il constitue la matérialisation poussée à son paroxysme du fantasme du rapport sexuel sans lendemain avec un inconnu.Dans une optique de sexualité de groupe, une même cloison peut comporter plusieurs glory holes. | |
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