♫Un bain nocturne...au clair de la Lune... //!\\ +18[Daisuki]

Quelle étrange journée. Je me suis perdue dans le parc du lycée, heureusement, une jeune femme était là pour m'aider...moi et le sens de l'orientation, ça fait 20 si ce n'est plus.
Après avir ranger entièrement mes affaires, débalant ms cartons qui étaient fraichement arrivés de l'hôtel, ce qui m'a pris je pense environ 4 heures !
J'ai pu enfin un peu visiter les lieux qui allaient être ma nouvelle demeure. Bizarrement, elle paraissait vde. Inhabitée. Pourtant je crois que j'ai des colocataires...je verrai bien.
Les cours n'ont pas encore commencé pour moi, car ils me laissent quelque jours de répis afin que je m'aclimate doucement à la vie sur un campus universitaire.
"Bienvenue dans ta nouvelle vie Fox'" Mmm ouais...je sais pas si je dois m'en réjouir pleinement ou alors le faire avec une certaine méfiance. Sait-on jamais....peut-être que la vie avec papy et mamie va me manquer...hahaha...trop pas.
Rien de tel qu'un peu de liberté quand on arrive dans la majorité...rectification, quand on EST dans sa majorité. 21 ans...l'âge d'or.

Enfin bon. Tout ça pour dire que c'est une étrange journée qui s'annonce pour moi. Si on me demande pourquoi, je ne peux pas vos répondre. Car je ne sais pas encore pourquoi. Cet étrange ? pas tant que cela, au vu du fait que c'est comme ça que je ressens cette journée qui approche.
Je ne sais pas pourquoi je ressens cette étrange sensation que quelque chose d'étrange allait m'arriver. Bref. Je verrai bien plus tard.

Plus tard c'est quand ? Je me tourne vers le petit réveil qui est à côté de mon lit. Il est 18h00. Plus tard c'est peut-être maintenant...ou alors dans quelques heures. Je fabule...je fabule...tout ça pour retarder le moment où il faudrait que je traine mon corps las et moite jusque dans la petite salle de bain. Allez Fox !
Un pied, une jambe....l'autre pied, l'autre jambe. Me voilà debout. Encore quelques pas et j'y serai. Il faut d'abod que je traverse la cuisine.
Haaaan je suis une larve dans le genre humain. J'ai eu de la peine à refermer ce live hier dans la nuit et c'est le manque de sommeil engendré pour les beaux yeux de Baudelaire que j'ai fait une presque nuit blanche.

Le jet sur mon corps encore engourdi par les efforts pour déballer mes cartons est une bénédiction. Distraite, je regarde les gouttes perler entre mes seins, et continuer inexorablement leur course, parfois rejointe par d'autres, jusque dans mon nombril. Mes deux mains sur les catelles du mur, je savoure, pensant à ce que je pourrais faire pour passer le temps.
Une visite de la ville ne me tente pas plus. Je ne suis pas trop adepte des fourmilières avec mouton...Pourquoi pas la plage ? A une heure si avancée, il ne devrait pas y avoir grand monde, sauf s'ils sont tous en ce moment dans leur douche à se dire exactement la même chose que moi...se serait assez étrange comme coincidence...

Il faut absolument que je me bouge, où alors je ne pourrai pas profiter un temps soit peu de la chaleur de l'eau et du sable entre mes orteils.
Je me frotte vigoureusement, sort de la douche, puis de la salle de bain, nue comme un ver. Si un colocataire venait à faire irruption ? Tant pis. Je n'ai rien à cacher.
Je parsème mon parcours jusque devant l'amoire de petites flaques d'eau. Elles sècheront d'ici à ce que je parte.
Lentement, je choisis une tenue qui sera facile à enfiler et facileà enlever. Pas de sous-vêtements pour ma baignade nocturne. Se serait inutile.
J'opte donc pour cette petite robe de flanelle blanche, assez ample et qui n'est pas transparente. Pas besoin que tout le monde devine que je joue la nudiste sous mes apparats.
Je ne prend pas le temps de m'attacher ou me sècher les cheveux, cela m'ennuie trop. Je sors donc dans la rue et marche assez vite, chausée de sandales à lacets blanches égalment...je suis un ange dans le soir qui tombe sur une ville grisâtre, que des gens ont commencés à quitter afin de laisser la place au peuple de la nuit, peuple de débauche et de sexe.
Un ange...cette image de moi me fait sourire...j'avoue...

La plage enfin. Déserte. Ce qui n'est pas plus mal. Je cours jusqu'à l'eau, jetant ma robe et mes sandales sur le sable encore marqué du passage des touristes et des jeuns de cet après-midi. Il fait encore bon. Sans attendre, je laisse les vagues venir lècher mon corps, les petits grain de sel mêlés au sable tracé des petits sillons su ma peau nue, tandis que je me laisse flotter au loin, maintenant une certaine cadence avec mes jambes.
Je suis bien...tellement bien...
De retour sur la plage, je me couche dans le sable, sur le dos, les yeux tournés vers les étoiles, laissant ainsi le petit vent agréable qui s'est levé venir jouer dans mes cheveux qui se sont imprègner de l'odeur de la mer...j'aime la solitude...et la aix de cet endroit, aimant m'imaginer le tumulte qui à du envahir ces lieux pendant la journée...

Percher en haut d'un arbre, les bras croiser sous sa nuque, le chaton prenait le temps de se reposer. Comme toujours sa journée avait été plus que mouvementé. À croire que sa vie était celle d'un héros de manga.... Las oui, ce jeune chanteur avait peine à marcher incognito sur le trottoir. Bien que beaucoup de personne ne l'abordait pas, il n'en restait pas moins que leur regard pour lui le décourageait. S'ils tenaient tant que cela à le regarder qu'ils achètent tous un magasine où il parlait d'Azile, mais par pitié qu'on lui fiche la paix! D'ailleurs la journée qui venait de se dérouler c'était passer comme toute les autres.

Au petit matin il s'était réveillé au près d'un homme dans la trentaine. Un bel homme qui avait fière allure. Leur rencontre... Il ne s'en souvenait plus tellement.. Où il l'avait rencontré? Aucune idée. Comment l'avait-il abordé? Il ne s'en souvient plus. Néanmoins il se souvenait de cette nuit! Cet homme l'avais baiser sans relâche, défonçant son petit cul blanc, martelant avec sa verge l'anus du chaton sauvage. Se laissant dominer, il n'avait pas perdu un instant à satisfaire l'homme en poussant des miaulements aguichants. Ça avait produit un choc à l'homme qui s'était défoncer à donner du plaisir à la bête qu'il avait recueilli. Leur ébat avait été tellement violant que le chaton s'était mis à saigné, quelque petites pertes de sang clair qui s'échappait d'entre ses fesses coulant sur son tatouage avant d'aller tâcher les draps et de ce mélanger à son sperme qui s'échappait de son membre qui se faisait caresser avec férocité. Leur ébat dura toute la nuit et il finit par s'endormir au petit matin, le ventre plaqué contre le matelas son visage enfoui dans le coussin de plume, la main de son partenaire qui se glissait entre ses fesses.

Il se réveilla lorsque son téléphone sonna et que ses oreilles perçurent la voix beuglante de son agent d'artiste, ami et aussi bassiste. Il ne perdit donc pas de temps pour se diriger vers le studio, où il devrait enregistré leur second album. Tout le long de l'après midi, il épuisa sa voix à chanter des morceaux dont il ne savait pas le trois quart des paroles tellement ils n'avaient pas prit le temps de pratiquer.

Maintenant sa journée fini il avait eut l'idée de se diriger vers la plage. Endroit où il pourrait être seul en partit, à moins qu'un groupe de fêtard s'amuse autour d'un feu avec la musique dans le tapis, là il pouvait dire adieu à la tranquillité de l'endroit. Mais avant de chialé, il devait vérifier au moins jeter un coup d'oeil. Guitare dans le dos il avait marcher du studio jusqu'à la plage la plus proche, environ un bon trois heures et demi de marche, lorsqu'il arriva il fut étonné de voir que personne se trouvait sur ce sable blanc. Et puis de toute façon c'était tant mieux pour lui, il marcha observant l'eau qui venait caresser le sable avant de repartir. Puis il finit par trouver un arbre au rebord de la plage, il se dirigea vers celui-ci, laissant sa guitare au sol. D'un mouvement gracieux il déposa sa main sur la branche la plus près de lui et se hissa sans difficulté sur celle-ci. Il continua ce manège deux ou trois fois jusqu'à ce qu'il arrive sur une branche plus solide. Se mettant en petit bonhomme sur celle-ci, il regarda l'horizon, ses cheveux sombres volaient avec la brise salé de la mer. Il ne resta pas longtemps comme ça et fini par s'étendre sur la branche. Plaçant ses bras derrière sa nuque, il ne perdit pas de temps pour fermer ses yeux, sans pour autant s'endormir, simplement profiter du moment présent.

Il finit néanmoins par s'endormir... Il fut réveiller par le bruit des vagues qui s'agitaient, ouvrant un oeil il regarda les multiples branches qui se trouvait au dessus de lui. Puis il ouvra son second oeil, regardant cette fois sa jambe qu'il avait replié en se réveillant. Il poussa un long bâillement, créant de petites larmes à la commissure de ses yeux lunaires. Étirant un bras puis le second, il se redressa prenant une position assise sur la branche. Une jambe pendante dans le vide, durant que l'autre était replié vers lui, il déposa son avant bras sur son genou. Enfin installé, il regarda la plage en passant que c'était simple le temps, peut-être orageux, qui créait un tumulte de vague. Ses iris clairs se promenèrent sur le sable, puis sur l'eau. Par chance comme tout bon félin qui se respect, Daisuki avait une très bonne vue, il put donc remarquer une jeune fille sortir d'entre les vagues. Un sourire digne d'un chat sournois, se créa sur ses lèvres claires. Cette fille se croyait seule, d'où cette nudité ou sinon elle n'était pas très pudique. Il la regarda sortir de l'eau, avant qu'elle ne se couche sur le sable frai. Il la regarda un instant, elle se trouvait à quelque mètres de lui, mais surement pourrait-elle l'entendre s'il bougeait ou même lui adressait la parole. Hélas ce n'était pas son genre de parler comme ça, tout bonnement, au étranger et étrangère qu'il rencontrait. Cependant, la baignade de la jeune fille lui donna goût.

Sans aucun bruit, il se positionna sur le rebord de la branche et se laissa tomber au sol. Atterrissant sans le moindre bruit sur ses pieds, il se redressa, dépliant son long corps. Sans aucune gêne il retira le col roulé sans manche qu'il portait, le laissant tomber près de son étui à guitare. Puis il retira son skinny noir, ainsi que son boxer qu'il déposa près du col rouler. Une fois complétement nu, il se mit à courir, passant à une vitesse folle près de la jeune fille étendu, puis sans élan il plongea dans l'eau. L'eau n'était étonnamment pas si froide que cela, il alla toucher du bout des doigts les cailloux tout au fond. Il finit par remonter à la surface, battant des jambes et des bras, extirpant sa tête des vagues. Sa chevelure sombre fut aussitôt éclairé par les rayons de la lune leur donnant ainsi une couleur plus clair qui s'agençait merveilleusement bien avec la couleur de ses yeux qui avaient atteint une transparence presque surnaturelle. De ceux-ci, il regarda vers le rivage, observant la fille qui s'y trouvait. Il sourit sans rien pour autant parler et puis que pourrait-il bien lui dire? Qu'elle est bonne? Pas très intéressant comme phrase... Il resta donc ainsi, nageant à la surface de l'eau, observant la jeune fille sans un bruit sauf peut-être le bruit calme des vagues.

Cette odeur de iode qui teintait mes cheveux de cette note parfumée, accentuée par leur danse folle avec le vent qui s'était levé mais se faisait quand même discret...
La douce mélodie des vagues sur le sable qui m'enveloppait d'un halo de chaleur sublime...
Sans parler de la sensation des gouttelettes d'eau qui sèchaient lentement sur ma peau, étaient lentement entrain de me faire basculer dans les bras de Morphée.
Alors...était-ce réellement le cadre idyllique de cet endroit, et son calme apparent, où alors simplement la fatigue qui m'habitait depuis le début de cette journée ?
Quoi qu'il en soit, je laissait mes yeux se fermés sur le ciel étoilé et mon coeur qui battait si vite en temps normal prendre un rythme plus lent, comme s'il avait décidé de se mettre au calme avec le climat de l'endroit.

Mais alors que je me sentais glisser lentement au pays des rêves, quand je sentis que quelque chose me frôlait rapidement. Je n'eut pas vraiment le temps de voir ce que cela aurait put être, mais je perçut les petits grains de sables venir fouetter ma peau, et le petit air frais que cette chose engeandra caresser mon corps tout entier. Un frisson me parcourut à ce moment là. C'était étrange, mais pas totalement désagréable.
Quand je décidai enfin de relever le buste pour regarder ce qu'il venait de se passer, je ne vis rien en premier lieu. Puis, comme si cette personne avait décidé de se dévoiler à moi, je vis quelque chose dans les vagues.
Etait-ce une créature quelconque ? Un mirage peut-être...Mais il ne me semblait pas que je rêvait. C'était impossible.
En plissant un peu les yeux, je vis que ce que je pensais être un rêve était en réalité une personne...mais était-ce vraiment un être humain ?
Je ne savais pas vraiment ce que je devais faire à ce moment-là. Fallait il que je me lève et que j'alle voire de près ? Ou valait il mieux que je reste là et attende de voir si je risquais quelque chose ?
Je crois que je n'ai jamais été aussi perturbée par un choix. Je me décide donc et prenant mon courage à deux mains, je me lève et avance prudemment vers la mer qui est tumutlueuse par moment, et si calme par d'autre.

Mes pas sont un peu maladroit, comme si j'avais peur...pourtant, ce n'est pas ce sentiment là que je ressentais, mais bel et bien de la curiosité et une certaine pointe d'excitation, qui devait elle, être due à l'adrénaline face à l'inconnu.
Après tout, ce qui m'était passé à côté pouvait être humain, mais tout autant une créature dangereuse...car après tout, je n'avais entendu aucun bruit avant le passage.
Je n'avais perçu aucune odeur mis à pars celle de la mer...
Et plus inquiétant, je n'avais perçu aucune présence, rien, malgré la grande méfiance que j'avais quand je sortais.

Plus que quelques pas avant la rencontre. Je vois une petite tête dépasser des vagues, mais elle se fait comme manger par la mer suivant les mouvements de la marée. Je sens les vagues, ou plutôt l'écume de celles-ci, venir lècher mes orteils...je suis donc plus proche de la rencontre que ce que je crois.
M'arrêtant, je croise laisse mes bras pendre de chaque côté de mon corps, ma nudité ne me dérange en rien...
Mes cheveux tout juste sèchés, flottent dans le vent, et je regarde imperturbable, le jeune homme qui est entrain de se baigner...
Car oui,c'est un jeune homme. Il doit avoir à peu près mon âge je pense...Devrais-je le déranger et essayer d'engager la conversation ? Ce que je fais facilement, étant du genre assez sociale. Mais peut-être que je vais le déranger...après tout, il est peut-être partit pour être au calme, sans que personne et encore moins une jeune femme nue comme un verre ne vienne lui adresser la parole.

Pourtant...malgré mon envie de le laisser tranquille, mes jambes refusent de bouger, de m'éloigner du spectacle de son corps fin se perdant dans l'immensité de la mer...
Mes yeux ne peuvent se détacher de ce spectacle...
Mon corps est comme totalement inerte, bien droit, ma plante des pieds bien ancrée dans le sable, mes seins se laissant caresser par le vent, je frissonne, mais ne peux faire aucun geste...je me lance ?

-Bonsoir...

Je ne sais pas si ma voix, quasiment inaudible, lui est parvenu jusqu'aux oreilles...

Les vagues frappaient son dos encré, les rayons de la lune allaient soulignés le découpage de sa musculature élancé. Quelque mèches trempés retombaient devant ses yeux lunaire, s'égouttant sur sa peau clair. Il remarqua que la jeune fille s'était levé, elle s'était même approcher à croire qu'elle avait remarquée la présence du chaton. Il la regarda un moment, sans bouger plus que ses bras et ses jambes pour rester sur place. Il perçut une voix qui se faufila jusque dans ses oreilles, une voix faible, mais il réussit tout de même à comprendre ce qu'elle lui avait dit. Il haussa un sourcil, les formalités de la vie humaine étaient vraiment ennuyeuse et pathétique. Lui répondre ne lui servirait à rien. Un moment passa, puis il se décida à retourné vers le rivage.

Il sortit de l'eau se déhanchant comme un félin gracieux. Il passa une main dans ses cheveux sombres, envoyant quelque mèches rebelles vers l'arrière. Ses yeux se fermèrent un bref instant, le temps qu'il étire son cou vers le ciel, faisant sortir ses veines comme ses muscles. Sa lèvre se retroussa au coin supérieur gauche de ses lèvres, montrant par le fait même sa dentition immaculée décoré d'une canine pointue qui allait s'enfoncer dans sa lèvre inférieur. Il s'approcha de la jeune fille, en un clin d'oeil il l'étudia vite fait. Elle avait un corps intéressant, mais rien à le faire lever aussi rapidement. Elle était plus petite que lui, environ une tête de moins. Bien entendu elle avait des courbes que lui n'a pas, pectoraux à peine voyant pourtant ils sont soulignés d'une faible ombrage. Aucune hanche contrairement à la jeune fille. Et les fesses bien que ronde n'ont pas tellement de chair, c'est plutôt du muscle qui se trouve là, celle de la fille aucune idée puisqu'il ne les voyait pas. Mais il y avait bien quelque chose qui amusait plus que tout le chat sauvage, bien qu'il était du genre à détester dire cela, mais sa beauté était encore plus féminine que la jeune fille... Pourtant cette fille avait des traits plus que féminin et même très délicats. Cependant, comme tout le monde le disait il ferait une magnifique femme si ce n'était pas de son pénis et de son sale caractère.

Il arriva devant elle, à quelque centimètre d'elle, plongeant son regard clair dans celui de la jeune fille. Il étudia son âme comme il savait si bien le faire, étant sans aucune gêne ni même de pudeur. Il fit sortir son piercing d'entre ses lèvres présentement fermé, laissant parcourir la petite boule de métal sur sa chair rose cendré. Il commença à faire le tour de celle-ci, observant sa proie comme tout bon félin qui se respecte. Il la regarda néanmoins que du coin de l'oeil, passant sur son flanc droit, puis derrière elle. Lorsqu'il arriva sur son flanc gauche les rayons de la lune vinrent éclairés son dydoe, illuminant l'argent blanc de son piercing. Il revint devant la jeune fille, croisant son bras gauche sur son torse, durant qu'il alla appuyer son autre coude sur son avant bras pendant que son index alla se loger sous l'un des mamelons de la jeune fille. Il appuya dessus créant un pli dans sa chair rose.

- Ouais des arguments plutôt intéressant.

Il la regarda droit dans les yeux durant que son doigt pressait encore plus la petite montagne rose.

- Alors qu'est-ce qu'une fille comme toi fait ici seule en plus qui se baigne nue sous le regard de n'importe qui.

Il passa sa langue sur ses lèvres regardant sa proie avec délice.

Quand enfin je vis que le personnage qui évoluait dans l'eau s'approchait de moi, je me dis que peut-être il avait enfin entendu ce que j'avais dit. Mais après, au vu de son manque de réaction, je finis par penser qu'il n'avait peut-être pas saisit. Ou alors, il faisait partie de ces personnes méprisant le contact humain.
Quand il sortit totalement de l'eau, je pus constater que lui aussi était dans le plus simple appareil. A croire que c'était une mode. Le corps du jeune homme était très fin. J'en viendrait presque à envier cette finesse, si j'étais le genre envieuse, mais je me contente de ce que j'ai.
Sa chevelure humide ruisselait le long de ses muscles finement tracés, et la Lune rendait un effet érotique à son corps qu'on aurait pu dire, de jeune imberbe.
Le silence qui planait, et que seul les vagues venaient toubler aurait put être assez gênant, si l'ambianc du moment n'était pas si étrange. Etrange car après tout, je me trouvais totalement nue, devant un inconnu qui était aussi nu que moi.
Toutes autres personnes auraient probablement directement penser à des choses malsaines, mais étrangement, moi, ce que j'éprouvais était loin d'être du désir. Plutôt une forme accrue de curiosité quand à la suite des évènements.

C'est alors que je commençais gentiment à trouver que le silence devenait quand même légèrement monotone, à la longue, que je me rendis compte qu'il me dévisageait. Et ses lèvres finirent enfin par s'ouvrir pour dire quelque chose. Ce n'était pas trop tôt !
Mais au lieu de parole, je vis un petit bout metallique, que j'identifai vite comme un piercing et il se mit à me tourner autour, comme l'aurait fait un chat d'un autre chat, qui se serait égaré sur son territoire.
Il n'y avait pas d'hostilité, ni même de désir dans ce qu'il faisait. On aurait vraiment dit qu'il me jaugeait simplement.
Moi, je ne bougeait toujours pas, préférant le laisser faire. Au bout d'un certain temps, il se planta devant moi, me dépassant d'une tête au moins, et sans gêne, plaça son doigt juste en dessous d'un de mes seins.
Geste qui aurait parut déplacer en temps normal, mais que moi, étrangement, je trouvais naturel de sa part...

-Ouais des arguments plutôt intéressant...

Je ne sut que répondre à cela. Il venait en gros, dans des termes moins cru, de me dire que j'étais plutôt bien foutue. Quelque chose qui aurait fait palir certaines et rougird'autres.
Moi, je ne dis rien. Car je ne suis pas du genre à rougir et pâlir...n'était pas non plus quelque chose que je faisais.
Et il faut dire que c'était plutôt agréable, bizarrement, que de sentir ce doigt inconnu venir me tâter le bout du sein.
Je ne pus tout de même pas réprimer un certain frisson quand je sentis que mon téton s'enfonçait sous son doigt.

-Alors, qu'est ce qu'une fille comme toi fait ici seule, en plus qui se baigne nue sous le regard de n'importe qui ?

Une autre remarque. Décidemment, c'était à se demander s'il était un temps soit peu éduqé,ou alors habitué au moeurs humaines.
Mais une fois de plus, je me contentai d'écouter et de laisse faire.
Après une ou deux minutes de silence, j'osai, d'une voix sans vraies émotions, mais restant douce, tout en saisissant son doigt pour le presser, machinalement un peu plus fort contre mon sein...

-Au vu de tous ? Alors que seule la Lune était spéctatrice de ce que je lui offres ?

C'était cela. Quand je suis arrivée ici, il n'y avait pour seul spectateur de ma nudité, la Lune et les étoiles. Peut-être lui, mais je ne savais pas. Après tout, en quoi cela gênait qu'une jeune femme décide de se baigner nue ? Ce n'est quand même pas comme si j'avais décidée d'aller en boîte en tenue d'Eve !
Un sourire aux lèvres, sourire qui ne me quittait que rarement, je continuai, continuant de maintenir délicatement son doigt.

-Et ce que je suis venue faire ici t'as aparemment inspiré, vu que tu l'as également fait...non ?

Tout en ne lâchant pas le petit morceau de chaire et d'os, mes yeux rivés dans les siens qui possèdaient une couleur étrange, je ne fléchissais pas et ne détounerai pas le regard sous prétexte que j'aurais dus être gênée de ma tenue ou de son comportement vis à vis de mon corps.
J'étais bien trop curieuse de savoir pourquoi il était aussi impudent. Si c'était parce que la Lune était pleine ou alors simplement parce qu'il était de nature peu pudique avec qui que se soit. Après tout, cela existait !

Cette fille, bien que généreuse par ses courbes, avait un regard qui intriguait le chanteur. Étrangement, elle ne l'attirait pas contrairement à d'autre personne qui sans aucune gêne il se serait mit en mode chasse et aurait tout faire pour se faire baiser. Oui un peu comme avec Akihido, son ancien maître, lors de leur première rencontre. Un moment qui resterait gravé dans sa mémoire. Ce mec lui manquait, mais étant indépendant il ne prenait pas de nouvelle de lui, attendant plutôt qu'il le redemande. Il ferma un bref instant ses paupières, couvrant ses iris grises claires, et il repensa à tout ce qu'il avait vécu avec cet homme au corps bandant. Et c'était le cas de le dire, rien qu'à y penser son membre commençait à prendre de l'ampleur et pas à cause que la jeune fille devant lui tenait son doigt et le forçait à appuyer plus intensément sur cette petite montagne rosé qu'il sentait se durcir. Il rouvrit ses yeux observant la jeune fille devant lui, elle avait du cran de soutenir son regard. Elle parla et cette fois sa voix était plus forte, pas dans la tonalité, mais plutôt forte en frai de caractère. Cette fille ne devait sûrement pas se laisser pilé sur les pieds par n'importe qui. Plutôt intéressant et dommage pour elle car tomber sur Daisuki n'était jamais rien de bon... Il eut un petit rictus malsain, il avait maintenant envi de la démolir! Non pas par jalouse, mais pour le simple plaisir.

-Au vu de tous ? Alors que seule la Lune était spectatrice de ce que je lui offres ?

Il avait parler de tous... Non pas à son souvenir, simplement en frai de dire que n'importe qui pouvait la voir. Si sa ne lui dérangeait pas qu'on la voit nue c'était en aucun cas son problème. Après tout il même n'était pas pudique au contraire il prenait plaisir à s'afficher lorsqu'il en avait l'occasion. Et au nombre de personne qui l'avait vu nu en cette journée, cette semaine, ce mois, cette année, depuis sa naissance... et bien s'il avait été pudique où irait le monde!

-Et ce que je suis venue faire ici t'as apparemment inspiré, vu que tu l'as également fait...non ?

Il éclata de rire, ce même rire qu'il faisait toujours un rire froid et sans émotion. Il déplia son bras qui se trouvait croiser sur son torse et alla le porter juste au dessus de la croupe des fesses de la jeune fille. Appuyant sa main large, aux longs doigts osseux décoré d'ongles longs et peint de noir jais, il la tira vers lui. Introduisant son membre légèrement tendu, dut à ses pensées pour un certain mec, entre les cuisses de la jeune fille. Il délogea son doigt de l'emprise de la jeune fille, allant le faire glissé sur le reste de son sein.

- Tu as du cran, j'aime plutôt ça. T'es mieux que ces fangirls fini qui son trop gamine pour se laisser toucher par un inconnu et cela même si c'est leur idole.

Son doigt continua à parcourir la chair satiné de la jeune fille, descendant sur ses cotes, puis ce dirigeant ensuite vers son ventre pour finir sa trajectoire sur son pubis et allant même jusqu'à s'introduire entre ses lèvres chaudes. Comme toujours, il ne se gênait pas. Il passa son index entre les lèvres pour ensuite déposer son majeur sur la petite boule de chair, exerçant une pression sur celle-ci.

- Donc mademoiselle aime s'exhiber à la lune et ne prend même pas le temps de voir qui se trouve au alentour. Mais je dois dire qu'il est vrai que ton idée m'as plus...

Il remonta sa main qui se trouvait dans son dos, parcourant sa colonne vertébrale, durant qu'il approcha son visage de celui de la jeune fille. Il sortit sa langue et parcourut la ligne de sa mâchoire avec la boule de métal qui lui servait de piercing.

J'avoue que son rire me glaça un peu le sang. Mais cette légère et courte sensation de peur, ajouta à mon état second.
Etat second qui était dut a la proximité, mais la distance qu'il y avait entre l'inconnu et moi. Son doigt sur mon sein continuait de me faire un peu frissoner, mais je ne fléchissais pas pour autant. Je ne voulais pas être vue comme une fille faible...je ne voulais pas qu'il me prenne comme une victime.
Bien que je ne fasse probablement pas le poid au vu de ses diverses réactions, je savais qu'au moins, je ne serais pas perçue comme ce que je n'étais pas.
Après tout, les filles timides étaient vraiment ce que je ne supportais pas. Il est vrai que si l'on s'arrêtait sur ma tenue vestimentaire, mes manières ou encore plus, ma voix qui était trop douce, on aurait facilement put penser le contraire.
Comme je le fixais dans les yeux, je ne vis pas de suite que son membre c'était durcit. Aurais-je du être flattée ? Se serait probablement un acte prétentieux de ma part, car après tout, les hommes avaient tendance à entrer en érection assez facilement.

- Tu as du cran, j'aime plutôt ça. T'es mieux que ces fangirls fini qui son trop gamine pour se laisser toucher par un inconnu et cela même si c'est leur idole.

Fangirls ? Pourquoi parlait il de ce genre de filles, comme s'il savait...faisait il partit des idols dont il parlait ? Après tout, tout était possible...je n'étais pas calée en musique ou en je ne sais pas quoi, étant adepte de la musique classique et donc on aurait put dire facilement que je devais vivre dans une grotte, car ma culture sur la mode du 21 ème siècle était des plus pourrites. Elle laissait sérieusement à désirer.
Enfin...je le saurais tôt ou tard. Je n'allais pas le lui demander maintenant, cela serait déplacé...
Ses doigts se faisaient de plus en plus baladeur, explorateur. Ma peau frémissait et quand il appuya délicatement sur mon clitoris, je ne put m'empêcher de laisser sortir un faible gémissement, tentant temps bien que mal de garder contenance. Je n'étais peut-être pas très pudique, mais je n'en restais pas moins d'une certaine "timidité" face à la sexualité...Non pas sainte, mais je n'étais pas une Marie couche toi là, qui ouvrait les cuisses à tout bout de champ. C'est pourquoi je les resserai un peu autour du membre devenu conséquent du jeune homme.

- Donc mademoiselle aime s'exhiber à la lune et ne prend même pas le temps de voir qui se trouve au alentour. Mais je dois dire qu'il est vrai que ton idée m'as plus...

Je ne pus pas répondre, tout de suite, car sa langue le long de ma machoir me laissait perplexe. Je tentai de rester de marbre. J'aimais cette sensation, la douceur de ses gestes qui contrastaient avec le regard froid et gris de celui qui les prodiguaient. Ma respiration trahissait sans doute quelque peu l'assurance avec laquelle je parlait, mais je n'avait pas peur pour autant. Mon coeur, qui, il y a quelques instants c'était calmé, avait repris un rythme légèrement plus rapide. C'était agréable de le sentir me toucher, même s'il ne s'agissait là que de curiosité plus que de la véritable sexualité.

-J'ai toujours de bonnes idées...

Je ne bougeais pas, tandis que je savourais les doigts osseux et filiformes qui me parcouraient.
Je me cambrai légèrement, ce qui eut pour effet de coller ma poitrine contre le torse encore légèrement humide du jeune homme. Je le regardais dans les yeux, toujours, et essayai de percevoir ce à quoi il pensait. Mais je ne percevait rien.
Il était difficile de lire en lui...trop difficile.
Mais peut-être n'était-ce pas plus mal en fin de compte.
La voix que j'avais eue tout à l'heure, tout en restant douce, m'étonna de moi, car elle avait eu une légère pointe de désir mêlé à du défi...
Etais-je réellement entrain de défier ce jeune inconnu dont le nom m'était encore mystérieux...au moins tout autant que ses intentions...
Ecartant légèrement les jambes, je lui prit le poignet pour faire remonter sa main qui était impunément entrée dans mon intimité, jusque sur mon ventre.

-...n'est-ce pas ton cas ?

Il sentait la respiration de la jeune fille ralentir et puis il pouvait le remarquer assez facilement en voyant sa poitrine ne soulever plus délicatement. Elle semblait aimé ce qu'il faisait à son corps, pourtant pour lui elle était comme toute les autres des filles qu'il excitait sans trop de mal. À croire que toute les filles aiment les mecs de grande beauté et quelque peu bad boy. Bien que son apparence soit carrément celle d'un androgyne, son corps était complétement marqué de tatouage et quelque piercing ici et là.

-J'ai toujours de bonnes idées...

Elle se cambra vers l'avant, appuyant ses seins voluptueux sur son torse. Même ainsi elle continuait de le regarder dans les yeux. Ses iris clairs se reflétaient dans le regard sombre de la jeune fille. Il l'observait, sentant ses mamelons se frottés son sa peau blanche, durant que son doigt faisait une rotation constante sur le clitoris de l'inconnue. Aller plus loin, il s'en foutait, bien qu'il pensait avoir une soirée tranquille, mais il est vrai que maintenant il était excité... Excité à cause d'un fichu blondinet qui le possédait de façon perverse, sensuel, bestial... «Raaaaaaaaah et merde, pourquoi il est pas là lui!» Il sentait son corps bouillir, il aurait bien voulu baiser cette fille tout simplement pour assouvir ses idées complétement perverse. Il sortit de ses pensées qui dérivait vers des obscénités que bien entendu il serait assez dure pour une fille de faire cela, mais il y avait bien des choses qu'il pourrait lui faire... Puis elle retira sa main d'entre ses cuisses, faisant glissé les doigts du chanteur sur sa peau jusqu'à son ventre.

-...n'est-ce pas ton cas ?

Il arqua un sourcil, pour le moment il n'avait pas parler ni même dit une de ses idées. Et puis il n'était pas venu au départ à la plage pour se baigner, mais simplement pour avoir un lieu où dormir. Le studio était occupé d'une multitude de personne, sûrement encore une partouse fait par Ginji. Il n'en manquait jamais une. Sa main caressa le ventre plat de la jeune fille, si une personne passerait sûrement croirait-elle que c'était un couple qui s'amuser à des petits jeux sensuels sous le regard de la lune.

- Mes idées je les gardes pour moi... Mais je vois que tu n'aimes pas tellement mes actes. Pourtant ton corps dit autre chose.

Il lui montra son doigts couvert d'un liquide plus ou moins transparent. Il passa sa langue sur sa lèvre supérieur, caressant celle-ci avec la petite boule de métal. Puis sans prévenir il retira toute ses mains, affichant un sourire sournois, il fit un pas vers l'arrière. La regardant une dernière fois, avant de passer à coté d'elle et de se diriger vers l'arbre qui lui servirait de logement durant cette nuit là.

Arrivant à coté d'un tas de vêtements empilés de façon désordonné, il se pencha cherchant son skinny. Il trouva dans une de ses poches son paquet de clope. Tapant celui-ci dans le creux de sa main pour en faire sortir un petit bâtonnet blanc, il prit aussi son zippo et ne tarda pas à l'allumer. Embrasant le tabac sec et la fine couche de papier qui le recouvrait. Il s'amusait à faire dos à la fille, s'amusant de savoir ce qu'elle ferait....

- Mes idées je les gardes pour moi... Mais je vois que tu n'aimes pas tellement mes actes. Pourtant ton corps dit autre chose.

Ses caresses sur mon intimités m'avaient allumée, si l'on puis dire. Bien que je n'étais pas ce genre de fille, dire que je n'étais pas excitée serait mentir. Hors, je ne mens jamais. Et quand bien même, comme il me le dit très clairement, mon corps montrait de nombreux signes d'envie qui étaient plutôt forte.
En regardant ses doigts qui brillaient, lubrifié par ma cyprine qui c'était mise à couleur lentement entre mes jambes, au lieu de détourner le regard, gênée, je pris sa main et lècha doucement le liquide douceâtre.
Il avait tort. Je n'était pas tant dérangée par ses actes, mais par ce que cela allait probablement impliquer par la suite. Aussi, tandis que je m'attendais à ce qu'il réplique, je fut surprise de le voir reculer après avoir jouer impunément avec moi.
Apparemment, il me prenait comme une proie et s'amusait de me voir languir. Quand il partit en direction de l'arbre qu'il avait quitté peu de temps auparavant, je restai sur place.
Trop abasourdie par cet acte, mais également parce que je ne savais pas où j'étais entrain d'aller avec mes réactions qui étaient plus une invitation à passer aux choses serieuses qu'une manière de lui dire non...
Je n'avais pas répondu à sa remarque. Je regardai son corps filiforme près de l'arbre. Il me faisait dos. Je me demandais à quoi il pouvait bien penser.
Machinalement, je portai une main entre mes jambes et passai un doigt sur mon intimité pour constater à quel point mon corps avait envie d'être pris, possédé par cet inconnu.
Mon corps ne réagissait pas comme ma tête, qui elle, pensait qu'il valait mieux que je m'éloigne de lui et m'en aille...
Mais mes jambes me portèrent jusque derrière le jeune homme et machinalement, je passai un doigt le long de sa colonne vertébrale.

-Tu sais...ce n'est pas prudent de tourner le dos à une inconnue...

Bien entendu, il ne risquait pas grand chose avec moi...cette réplique avait été la première à me venir...
Lentement, je m'approchai un peu plus, laissant mon corps se coller contre son dos qui était frais et doux. Je ne savais pas vraiment ce que je faisais exactement. Avais-je vraiment envie de faire l'amour, de me voir baiser par un être venu d'ailleurs ? Ou alors est-ce que je jouais à faire la grande et allais me démonter s'il décidait de me prendre là ?
Quoi qu'il en soit, je passai mes mains sur son torse et caressai un instant, par effleurement, sa verge de mon autre main.
J'avais l'impression que mon corps n'obéissait qu'à ses pulsions les plus primitives.
Quand au jeune homme, je devais être une fille parmis les autres, qu'il s'empresserait de baiser et abandonnerait sur la plage, nue et à bout de souffle...
Qu'importe. On a qu'une vie et cette rencontre pouvait devenir intéressante.

Les doigts qui effleuraient son sexe, allèrent s'attarder quelques temps sur son gland gonflé par le sang, tandis que mon autre main, toujours sur son torse, titillait un de ses tétons.
Moi, je restait plaquée contre son dos, ma poitrine montant et descendant le long de ses omoplates, tandis que mes jambes restaient fermement ancrées dans le sable.

Une légère boucane s'échappait de son bâtonnait cancérigène, s'évaporant dans l'air de la nuit. Il tendit tout de même l'oreille, entendant la jeune fille se rapproché de lui. Contrairement au chat sauvage qu'il est, elle n'était pas bien discrète et pourtant ses pas étaient doux et gracieux comme celui de presque toute les femmes. Il sentit le doigt de celle-ci partit du nom de son frère cadet, glissant sur chacune de ses vertèbres jusqu'à aller se perdre dans le creux de son dos pour finir sa course sur la croupe de ses fesses. Elle était audacieuse et il aimait ça chez les femmes. C'est vrai qu'il était plutôt rare que ce félin se laisse toucher par une femme, préférant de loin le corps d'un homme. Cela pour la simple et bonne raison qu'il devait donné c'est goût de soumis à son frère aîné. Le problème avec les filles c'est qu'elle ne peuvent pas être dominatrice avec un homme a moins que se soit un transsexuel, mais là ça allait trop loin pour le chaton. Obsédé, pervers, mais pas encore assez fou pour aimé un homme a seins!

-Tu sais...ce n'est pas prudent de tourner le dos à une inconnue...

Il se mit à sourire, faisant fuir la boucane d'entre ses lèvres pêches. Elle changea son doigt pour y collé ses seins, seins qu'il sentait parfaitement bien dans son dos, se mouvant avec sensualité. Ses mains parcourant son corps tatouer et cicatriser. Une de ses mains passa sur la cicatrice qui se trouve entre ses deux pectoraux, continuant sa route pour aller titillé l'un de ses tétons, qui bien qu'il soit distant se durcit plutôt vite. L'autre baladeuse descendit continuant sa course jusqu'à son pénis qu'elle ne tarda pas à caresser langoureusement. Cette fois, il n'avait même besoin de pensé à Akihido pour être excité. Le simple contact des doigts de cette fille avait réveillé quelque peu la bête qui avait recommencé à s'endormir. Elle commença à effleuré son gland du bout de ses doigts délicats, parcourant cette chair inconnue s'arrêtant quelque instant pour effleuré l'une des petites boule de métal qui sortait de son gland. Le chaton ferma ses yeux clairs ne se gênant pas pour montré ses crocs, écrasant le filtre entre ses dents.

Il décida de se retourné, faisant ainsi face à la jeune fille. Il prit ce qui allait devenir un mégot, le logeant entre deux doigts, il l'envoya valsé un peu plus loin. Son regard se porta sur la jeune fille, elle était franchement bien roulée. D'un mouvement rapide, il empoigna sa nuque et l'attira vers elle, frappant leur deux corps dans un bruit sonore. Glissant sa main sur la racine de ses cheveux qui commença au niveau de sa nuque, la dirigeant ainsi jusqu'à ce que leur lèvres s'entre choc. Il ne perdit pas un instant pour enfoncé sa langue commençant ainsi une valse endiablé entre leur deux linguales. Il lui fit découvrit, si elle n'avait jamais connu cela, les plaisirs de la langue percé. Durant qu'il l'embrassait, l'une de ses mains retourna dans sa cavité allant cette fois l'exploré plus en profondeur. Il y introduisit tout d'abord le majeur, produisant quelque va-et-vient, ensuite l'index, continuant de faire le même manège. Il finit par y entré un troisième doigts, s'enfonçant cette fois au maximum de la capacité permise. Puis il en ressortit, coupant leur baiser par le fait même. Il la regarda, lui souriant avec perversité et il s'abaissa, se mettant à genoux, il lui écarta les cuisses et commença un petit jeu avec son piercing à la langue, jouant tout d'abord avec le clitoris puis s'aventurant plus loin. Durant ce temps, la main, qui c'était introduit en elle, alla exploré le fessier de l'inconnue parcourant tout d'abord ses rondeurs, puis fini son chemin près de l'anus de celle-ci. Il commença de léger mouvement circulaire autour de celui-ci.

Je dus stopper net mon petit jeu, car il se tourna pour me faire face. Etais-je allée trop loin ? Jetant sa cigarette, ou du moins ce qu'il en restait, et une de ses mains vint se poser sur ma nuque. M'attirant violemment contre lui, ce qui eut pour effet de créer un petit choc entre nod deux corps, il m'embrassa durement. La violence du baiser me fit perdre mes moyens durant un instant. C'était une première pour moi, que de sentir cette petite boule métallique sur la chaire rose de ma langue.
Je lui rendais son baiser au mieux, sentant quelque chose monter en moi. Quelque chose que j'avias connu qu'une fois dans ma vie.
Quand je sentis un de ses doigts en moi, je ne pus m'empêcher de lâcher un gémissement, qui fut suivit par un autre un peu plus fort.
Mes mains qui parcouraient sa nuque descendirent pour griffer son dos, sous l'effet du plaisir ressentit.
Je n'osais rien dire. Mes mouvements étaient saccadés, tout autant que mon souffle que j'avais de la peine à reprendre, par peur de rompre ce baiser fougueux.
Lorsqu'il introduit le deuxième doigts, je sentis une douleur qui me monta le long du bassin, mais elle fut vite remplacée par un nouveau spasme de plaisir.

Lorsqu'il rompit son baiser, je put enfin essayer de reprendre un rythme de respiration normal. Je pris une bouffée d'oxygène, le souffle de plus en plus court. Son regard pervers et joueur me disait rien qui vaille.
Et j'avais raison. Je le vis s'abaisser et se mettre à genou devant moi, allant goûter de sa langue ma fleur intime. Mes cris se firent plus bruyant, rompant le silence qui s'étiat peu à peu installer entre nous. Mes jambes n'allaient pas tarder à me lâcher, et je sentais une douce chaleur m'envahir. Son doigt près de mon anus était quelque chose d'aussi nouveau que cette langue percée sur mon intimité qui devait être trempe, mélange de cyprine et de salive.
Je posai ma main sur sa tête, caressant ses cheveux que je finis par empoigner. Pas par domination, mais par réflexe pour estomper mes cris.
Je n'avias jamais rien connu de tel. Car à 21 ans, j'étais encore vierge. Bien évidemment, j'avais connu les joies du sexe, mais seulement des caresses d'un homme, d'une femme, et celles que je m'étaient prodiguées par le passé. Mais là, c'était autre chose.
Il savait y faire...c'était sur.
Moi, je m'abandonnait complètement, loin de toute gêne...je savais que j'allais probablement perdre ma virginité avec cet inconnu, mais cela m'était bien égal. Le jeu en valait la chandelle.

Ma main se crispait de plus en plus dans la tignasse du jeune homme, le poussant à aller plus loin dans ses explorations.
Moi, je gémissais de plus bel, tandis que mon autre main caressait un de mes seins, qui étaient dur et ferme, sous l'effet du plaisir.
C'était si bon...
Lentement, je le repoussai d'entre mes jambes et me mit à sa hauteur, afin de quérir ses lèvres à nouveau. J'étais totalement essouflée...ma langue parcourait ses lèvres qui était souillée par ma cyprine, et je m'empressai avec une sorte d'apétit bestial que je ne me connaissais pas, de la lui retirer.
Pendant ce temps, ma main caressait sa nuque et l'autre malmenait son membre, le masturbant avec avidité, contraste d'avec la douceur dont ma langue était capable.
J'avais enfin vraiment envie de lui. Et pas seulement mon corps, mais moi, toute entière.
Je voulais qu'il me prenne...avec violence...violence qui me rebutait en temps normal, mais qui exhalait de lui avec bestialité.
Quand j'eus finis de lècher ses lèvres, j'enfoui mon visage dans son cou, humant son odeur masculine, allant par moment mordre un petit bou de chaire, tout en continuant de le mastuber.
Mes doigts finirent par aller chercher ses testicules que je me mis à masser en douceur, mêlé à une légère sensualité

Sa langue parcourrait les petites lèvres de la jeune femme, puis s'amusa à s'introduire en elle. Il lécha chaque recoin qui s'offrait à lui, allant taquiné sa chair de sa petite boule de métal. Puis il lapa la cyprine qui coulait abondamment sur ses papilles gustatives, un léger goût sucré. Néanmoins on lui retira sa sucrerie et il ne se gêna pas pour émettre un grognement qui montrait son refus de laisser cette sucrerie à peine entamée. Et puis il n'avait même pas exploré l'arrière... Décevant! Il la vit cependant ce penser arrivant au même niveau que lui. Elle commença à lui laper les lèvres goût à son propre goût. Durant qu'elle devait se délecté, elle en profita pour exploré sa verge une seconde fois, mais cette fois-ci elle le masturba avec tellement de voracité qu'il en déduit qu'il avait réussit à lui faire apprécier son petit jeu. Bien que la vie du chanteur n'était qu'un jeu, il n'en restait pas moins que le sexe était son préféré... et puis avec une fille comme elle c'était bien mieux qu'une gamine.

Il descendit l'une de ses mains dans son dos, suivant sa colonne arrivant une fois de plus à ses fesses. Cependant, cette fois il allait exploré bien plus loin que de simple rotation. Il lui massa une fesse, puis léchant son majeur il le dirigea vers l'anus de l'inconnue. Il y enfonça progressivement une phalange après l'autre avant de commencer un va-et-vient constant. Il sentit que le chemin était étroit donc elle était encore vierge du coté anal. C'était assez intéressant! L'était-elle complétement? Une pucelle ça faisait un bail qu'il en avait pas défleuré une, sa ferait changement. Sentant son excitation monté, il essaya de se contenir pour ne pas lui sauté dessus aussi prestement comme il l'aurait avec un homme. Il sentait chaque caresse qu'elle lui faisait ainsi que chaque morsure qu'elle lui faisait dans le cou. Il eut un sourire qui ne dura pas longtemps, puis retirant ses mains, il alla les déposer sur ses hanches, soulevant la jeune fille avant de déplier ses jambes pour se coucher dans le sable et ainsi l'asseoir sur lui.

- Et si tu avait ta gâterie toi aussi! Mais avant laisse moi goûter une autre sucrerie.

Il agrippa une mèche de la jeune fille l'obligeant à se pencher durant que son autre main, la faisait avancer sur son corps nu. Il sentit pendant une fraction de seconde sa verge effleuré la cavité de sa compagne de jeu. Puis elle alla se loger juste derrière les fesses de la jeune fille, elle était présentement droite et pointait le ciel. Il continua à la tiré vers le bas en prenant soin de ne pas lui faire mal en lui tirant les cheveux... Un simple mouvement pour qu'elle comprenne qu'il désirait qu'elle se penche. Une fois la tête de la jeune fille le dépassa, il se redressa un peu allant chercher l'un de ses tétons avec ses lèvres. S'occupant de ceux-ci avec sa bouche et l'une de ses mains, il alla s'amuser à se masturber lui-même augmentant son propre plaisir...

Quand je sentis son doigt dans mon anus, je fut prise d'une sorte de panique. Pas la panique comme quand on a peur, mais plutôt celle que l'on ressent quand on ne sait pas ce qui va suivre.
Mais au final, ce n'était pas désagréable...bien au contraire. Bien que je ressentias une certaine douleur, la douceur avec laquelle il faisait entrer son majeur n'était pas pour me déplaire.
Cette sensation me fit stopper net ma respiration. Je restais totalement en suspens, puis, la surprise de cette penetration me fit mordre violemment la lèvre inférieur du jeune homme.
Mais je me vis forcée de relâcher prise quand je le sentis placer ses mains sur mes hanches...
Il me souleva comme si je ne pesait rien et je me retrouvai bien vite au-dessus de lui, assise, à califourchon sur son corps. Allait-il entrer en moi ?

- Et si tu avait ta gâterie toi aussi! Mais avant laisse moi goûter une autre sucrerie.

De quelle sucrerie parlait il ? Avait-il deviner que j'étais encore une vierge ? Allait-il aller droit au but ?
Mais je sentis que sa verge passait entre mes fesses, tandis qu'il tirait sur une des mèches sombres de ma chevelure. Il tirait doucement, mais assez fortement pour me voir forcée de me pencher un peu plus en avant, les mains dans le sable.
Et, alors que je commençais à me demander ce qu'il allait me faire, je sentis ses lèvres haper mon téton, gentiment, mais assez fortement pour que cela me fasse lâcher un nouveau soupir de plaisir.
Mes cheveux passait de pars et d'autre de ma tête, cachant quelque peu ma vue. Mais de toute manière, je fermais les yeux, me laissant totalement faire par lui.
Je sentais ses mouvements le long de sa verge, tandis qu'il se masturbait tout en continuant de suçotter mon seins. L'envie qui montait en moi me faisait faire des petits mouvements sensuels avec mon corps.
J'avais envie de lui. C'était de plus en plus évident...mais lui, il continuait de me faire languir. Peut-être n'était-ce pas volontaire, ou alors c'était simplement par jeux...
Je ne tenais plus. Dans un souffle, inaudible, je m'entendis le supplier.

-...je te veux...en moi...

Comme j'avais peur qu'il ne m'ait pas entendu, je repris, un peu plus fortement, réitérant ma demande.
Je voulais qu'il me prenne maintenant. Il avait fait durer le jeux trop longtemps pour mon corps avide de ses caresses désormais. De plus, je sentais ma cyprine qui coulait le long de mes jambes et allait se perdre sur son bas ventre, que lui continuait de caresser d'une main. Mes doigts étaient douloureux, à force de les crisper dans le sable et mes bras tremblaient. Je devais ressembler à une droguée en manque, ou pire, une de ses nympho que je n'étais pourtant pas...
Je voulais simplement que cet inconnu me prenne maintenant. Qu'il arrête de me faire languir...qu'il entre en moi et me fasse voir ce qu'était un rapport sexuel véritable...

Relâchant sa sucrerie, il éclata du même rire froid qu'un peu plus tôt. La demande qu'elle venait de faire l'amusait, elle en demandait des choses celle-la. Lui il en avait pas fini avec elle. Il la laissa se redresser, la regardant par le bas. Ce qu'il voyait le mieux ses seins couverts de sa salive. Il lui sourit déposant ses mains sur les hanches de la jeune fille. Il se redressa adroitement dans un angle de quatre-vingt-dix degré, la faisant ainsi glisser sur sa verge jusqu'à ce que ses petites fesses atteignent le sable, laissant passer sa verge vénuré juste au dessus de son pubis. Son gland allant jouer sur sa chair clair. Les jambes de la jeune fille passant près de ses flancs et allant sûrement se croiser derrière son dos.

- Et par quel orifice tu le désir?

Son sourire s'élargit dévoilant ses canines longues, enfin contrairement à un humain moyen, et pointues. Si elle désirait il pourrait sans aucun mal parcourir les trois. Bien qu'il aurait aimé de faire pompé le gland avant tout, il aimait tout aussi les deux autres. Oh et puis pourquoi demander de tout façon il allait se servir... Il plaça donc ses mains sous les cuisses de celle-ci, la soulevant avec aisance. Il la regarda droit dans les yeux cherchant à voir au plus profond d'elle, la rendant encore plus nue qu'elle ne l'était déjà. Il la souleva assez pour se reglissé en dessous d'elle. Une fois installé, il la fit descendre. Il espérait qu'elle ait de bonne jambe, parce qu'il ne souhaitait pas qu'elle lui tombe dessus... Il retira une de ses mains, qu'il alla déposer sur sa verge qu'il masturba une dernière fois avant de faire descendre la jeune fille sur celle-ci. Sa cavité se rapprochait de lui et il en sentait la chaleur qu'elle dégageait. Son gland guider par sa main alla tout d'abord frôler son clitoris avant de parcourir ses grandes lèvres et de bientôt se faufiler dans un chemin sombre, chaud et humide. Par chance peut-être que celui-ci serait étroit et donc encore plus excitant.

Son gland rencontra les petites lèvres et s'excita assez pour se tendre encore. Faisant descendre sa compagne sur celui-ci de façon lente pour qu'elle le sente bien rentré en elle. En plus c'était la première fois qu'il baisait une femme depuis son piercing au gland. Es-ce qu'elle allait aimé cela? Il fit pénétré le gland, sentant les boules de métal entré en elle. Il poursuivit la descente de la jeune fille retirant sa main qui servait à guide sa verge. Il utilisa cette main pour aller jouer avec le clitoris de celle-ci qu'il avait un tant soit peu délaissé. La petite boule de chair était maintenant aussi dure que les mamelons. Son gland était maintenant entièrement en elle et le frein allait maintenant s'engager dans cette cavité.

- Et par quel orifice tu le désir?

Cette phrase, qu'il avait lancée après m'avoir mise dans une position toute autre, me surpris, au moins autant que son rire m'avait glacé le sang quelques minutes auparavant.
Mes jambes nouées autour de son corps se désserrèrent légèrement, et moi, je ne savais que répondre. J'aurais aimé le voir en moi et qu'il me dépucelle, mais je voulais aussi ardemment tenté l'arrière...le fait de me voir soumise par lui...
mais aussi, je voulais lui montrer que je n'étais pas bonne qu'à recevoir, mais également à donner.
Vierge, mais pas incompétente non plus.
J'avais envie de le goûter, savoir qu'elle sensation son piercing me procurerait dans la bouche...
Est-ce que cela allait être la même que la boule métallique qu'il arborait sur la langue, ou allait elle être toute autre ?
Tant de question qu'il fallait absolument que j'élucide...

-Un peu...des trois...

Ma réponse, bien que quelque peu en retard, fut dite sur une voix sensuelle et chaude, qui contrastait avec son rire froid qui paraissait tellement cynique...
Oui. j'avais trop envie...et non, je ne me cachais pas. Mais cela n'avait pas l'air de le déranger plus que cela, car je vis, dans ses yeux, quelque chose. Il me dévisageait...il lisait en moi comme personne ne l’avait jamais fait. Cela m’effrayait un peu, mais le fait est que j’étais trop occupée par le plaisir du moment pour réellement être inquiète.

Son gland était à l'entrée de mon intimité. Je me crispai légèrement, car je sentais que ça n'allait pas être facile, étant donner que personne n'était encore passé par là avec quelque chose de plus gros qu'un doigt. Me mordant la lèvre inférieur, je pris correctement appui sur mes jambes et le fit entrer en moi lentement.
Mes parois vaginales étaient serrées autour de sa verge. Tellement serrées, que je sentais tout le passage de cet sexe dressé. Malgré le fait que je mouillais énormèment et que de ce fait, le passage était lubrifié au maximum, je fermai les yeux, sous la douleur qui s'insinuait comme un serpent en moi. Mon entre jambe me brûlait, mais je ne ralentit pas, gardant la même cadence pour le faire entrer au plus profond de moi.
Je respirai profondément tandis que je sentais que mon hymen se déchirait...j'allais probablement un peu saigner, mais le plaisir prendrait vite la place de la douleur...du moins, je l'éspèrais...

Sa verge s'enfonçait de plus en plus, jusqu'à ce qu'elle rencontre une légère résistance. Donc cette fille était encore vierge. Un rictus fit son apparition à la commissure de ses lèvres. Il aurait donc le plaisir de défleuré cette inconnue, elle avait donc des argument encore meilleur que ce qu'il avait cru. Cependant, il n'allait pas être délicat durant l'instant qui suit... Même qu'il l'était déjà trop contrairement à d'habitude. C'est à croire qu'il était devenu gentil..... Non ce n'était pas lui! Il déposa sa main libre sur la hanche de la jeune fille et la força ainsi à descendre sur sa verge perçant par ce fait même l'hymen intacte. Il sentit sa verge ce créer un passage dans le tunnel serré et finalement elle arriva à son maximum. En moins de 10 secondes, il venait de dévierger cette inconnue. Il la regarda avant de déposer ses mains sur les hanches de celle-ci, si elle désirait se masturber elle n'avait qu'à le faire elle-même, pour le moment il devait la guider... Il la souleva donc, l'obligeant à se débarrasser de son membre. Il passa ses mains en dessous d'elle et alla les déposer sur ses fesses. Puis il commença à lui faire faire des rotations, son gland toujours en elle suivait les mouvements qu'on lui infligeait. Sans crier gare, il décida de l'empaler, la laissant descendre sur sa verge maintenant bien lubrifier. Il finit par lui faire signe qu'elle pouvait continuer ses va-et-vient sur sa verge, durant qu'il se redressait pour aller s'occuper de ses seins qui pointaient sans gêne la lune.

Il commença par les lécher, leur donnant des petits coup de langue aléatoirement. Puis il décida de les sucer, entourant ses lèvres autour d'un des mamelons, caressant le bout de son téton avec son piercing. Il continua ainsi un moment. Enfin, il décida de se lever, entrainant la jeune fille empalée avec lui. Il s'approcha de l'arbre où il avait somnolé quelque temps avant, plaquant le dos de la jeune fille a celui-ci. Il la regarda droit dans les yeux et d'un coup sec l'embrocha avant de s'extirper d'elle. Laissant couler la cyprine d'entre les cuisses de la jeune fille jusqu'au sable. Pour sa part il n'avait pas encore éjaculer, elle lui avait tout de même demander les trois! Il lui restait encore du travail bien qu'il pourrait le faire bien plus d'une fois durant la nuit.

Il l'obligea à se tournée pour qu'elle puise faire face à l'écorce de l'arbre. Il passa son bras autour de la taille de celle-ci et d'un mouvement sec l'attira à lui tout en la forçant à se cambré vers l'avant. Une fois penchée dans un angle de quatre-vingt-dix degré, il se pencha écarquillant ses fesses blanche et il lui introduisit sa langue. Tout d'abord un tour avec son piercing autour de l'anus, puis il le fit entré une fois. Ensuite il y introduisit la langue, la faisant tournée à l'intérieur de cet orifice. Une fois bien lubrifier avec sa salive, il se redressa se plaçant derrière la jeune fille. Il regarda durant un bref instant son membre en érection. Il sourit puis écartant une nouvelle fois ses fesses, il guida sa verge et commença à la pénétré. Doucement, s'introduisant dans cette cavité inexploré, c'était si chaud et serré que sa l'excitait encore plus que le sexe vaginal. Créant son chemin avec lenteur, il finit néanmoins par arrivé jusqu'au bout où il se retira pour ensuite commencer des coup de butoir d'un vitesse rapide ce qui l'excitait encore plus. Il alla même pousser quelque râle de plaisir, qui sortir de sa gorge avec une tonalité un peu trop cristalline à son goût. Il se cambra, allant mordiller l'épaule de sa compagne. Il sentait maintenant sa sève monter en lui..

- Je vais venir....

Sa voix n'avait été qu'un murmure entre sa respiration saccadé.

Sa main sur ma hanche me fit frissoner, et tandis qu'il me guidait, je gardais les yeux fermés, peut-être pour ne pas voir ce qu'il pensait de moi, ou alors je ne voulais pas qu'il lise la douleur que je ressentais en ce moment.
Apparemment, sa douceur n'avait été que passagère, car aussitôt, qu'il m'eût deffleuré, je le sentis me saisir par les hanches et me faire faire de petites rotations. Il me guidait appremment.
Quand il me fit descendre brusquement, je dut me mordre la lèvre pour ne pas crier. La douleur était intense malgré le fait que je mouillais énormèment. Heureusement, quand il me fit signe et que je commençai à laisser mon corps monter et descendre sur son membre bien dur, je ressentis une toute autre chose. Une douce chaleur m'envahit et le plaisir fit enfin son entrée.
Mes mains étaient sur ses hanches, et je gémissais doucement de plaisir, les yeux levés vers la Lune. Accélérant un peu la cadence, mes ongles allèrent se ficher dans sa chaire tendre et douce, et je me mordais les lèvres de plus belle, afin de ne pas faire trop de bruit. Je ne voulais simplement pas que tout le monde environnant de m'entende.
Ses lèvres qu'il avait posées sur mes seins, les goutants sans relâche, n'arrangeait en rien les difficultés que j'avais pour me retenir de crier.

Alors qu'un cri s'échappa d'entre mes lèvres, je le sentis me soulever et aller me plaquer contre l'arbre. Le tronc rêche me griffa la peau, mais cette sensation me fit prendre goût a un mélange détonnant, celui de la souffrance et du plaisir. La luxure et la violence d'un acte...mélange étratrangement exquis. Est-ce que j'étais entrain de me découvrir une passion pour le masochisme ? Qui sait ?
Mais je n'étais apparemment pas au bout de mes peines, car quand il se retira de moi, laissant libre passage a ma cyprine mêlé d'un peu de sang, que je sentais couler le long de mes cuisses et de mes mollets pour aller se perdre sur le sable, je fus déçue, croyant en premier lieu qu'il avait terminer et qu'il allait s'en aller.
J'en profitai pour reprendre un peu de souffle, que j'avais perdu pendant notre ébat.
Mon coeur s'emballait et je continuais, bien que faiblement, de gémir...

A ce stade avancé de la nuit, je me demandais ce qui m'attendais, car au lieu de s'en aller, il me tourna pour que je me mette face au tronc qui venait de me lacérer le dos. Les mains sur le tronc, je dus me pencher en avant, cambrant mon dos au maximum. Je n'avais pas vraiment le choix...
Fermant les yeux, je finis par me rendre compte de ce qui allait suivre...Et il ne mis pas longtemps avant de me montrer que j'avais raison...
Sa langue, tout d'abord, humide et veloutée autour de mon anus me fit frissonner et gémir de plaisir. Ses mains sur mes hanches, toujours, sa langue en ce trou que jamais je n'aurais pensé explorer un jour, et enfin, je sentis son membre venir à l'entrée de cet orifice, et entré lentement et en douceur.
Bien qu'au départ c'était assez délicat, je finis par ressentir le plaisir qui était d'une toute autre nature.
L'inconnu commença doucement, certe, mais c'était apparemment pour mieux s'acharner sur ma croupe, ses mouvements brusques projetant ma poitrine d'avant en arrière et laissant entendre un "clac" régulier, celui de ses cuisses contre ma peau humide et légèrement suante.
Relâchant doucement le tronc d'une de mes mains, je la fis glisser pour parfaire ce moment en me caressant doucement, ce qui me faisait encore plus gémir.
Lorsque j'entendis ses râles qui était étrangement clair, mon plaisir fut accentué et je laissai cette fois mes gémissements se voir remplacer par des petits cris un peu plus fort, et sensuels.

- Je vais venir....

Oh non...pas tout de suite !
Arrêtant mes caresses sur mon intimité, je le forçai à s'arreter et me retira, afin de me tourner et de le plaquer doucement contre le tronc, tout comme il l'avait fait lui-même avant. Lentement, je me laissais glisser jusqu'a me retrouver sur le sable, et passant d'abord ma main afin d'essuyer quelque peu ce nos fluides qui souillaient la verge, je la pris avec un apétit féroce et dont je ne me savais pas capable entre mes lèvres, avant de faire de brusques va et viens, tout en caressant mon intimité.
Entrecoupée de gémissement et de respiration saccadée, je m'affairai, caressant de ma main libre ses testicules.
J'avais dit que je le gouterai et j'allais le faire...

À peine avait-il affirmé vouloir jouir, qu'il se retrouva extirpé de l'inconnue. Il poussa un quel qu'on que grognement qui s'arrêta bien vite lorsqu'elle le plaqua contre le tronc d'arbre. À croire que ses derrières relations physique en pleine air s'était retrouvé à être plaqué contre arbre ou poteau. Aucunement contente qu'on lui dise quoi faire, il frotta son dos contre l'écorce s'ouvrant de nouvelle plaie jusqu'au sang. Il la regarda s'abaisser vers son entre jambe et n'aillant pas retrouver son plaisir, son érection avait diminuer... Ses yeux qui avait été d'une certaine façon doux, étaient maintenant dure et laissaient voir la sauvagerie qui habitait le chanteur. Il s'en allait pour déposer ses mains sur les épaules de la jeune fille et il n,allait pas ce gêner pour l'envoyer au tapis. Il ne put cependant rien faire, car elle l'empoigna d'une façon qui surpris le félin. D'un mouvement sec, il alla replaqué son dos contre l'arbre, contractant tout ses muscles. Il inclina sa tête vers l'arrière ouvrant la bouche... « Merde cette à un de c'est cran pour une vierge!» Son érection revint sans plus tarder. Il sentait ses lèvres entouré sa verge, sa langue caresser son frein comme son gland ainsi que son piercing. En plus elle lui massait les bourses avec une certaine pression qui activait le plaisir du chaton, sans être trop forte ni trop faible une pression juste parfaite.

Il déposa une de ses mains sur la chevelure sombre de la jeune fille, l'obligeant à augmenté la cadence sur son membre. Sa respiration s'activa, le faisant poussé des soupirs de plaisir. Il sentit une légère chaleur emplir le bas de son ventre... Sa semence allait se déversé. Il sortit son membre de la bouche de celle-ci et il la regarda. Sourire au lèvre, il commença à se masturber durant que sa sève arrivait à l'extrémité pour en sortir en de longs jets qui allèrent s'écraser sur le visage délicat de la jeune fille, ainsi que sur ses seins. Accompagnant son éjaculation de quelque plainte de plaisir. Il aurait aimé faire d'autre chose avec cette fille, un corps de vierge peut-être si amusant à défleuré! Néanmoins il n'eut pas le temps de rien faire qu'il vit une lumière éclairé le sable. Il se tourna et vit non loin d'eux un agent de police. «Fait chier!» Il prit en vitesse le bras de la jeune fille et la redressa. S'il voulait pas se faire mettre en taule et se faire engueulé par Ginji valait mieux filer. Il regarda la jeune fille... Il se maudit....

- Prend mes vêtements et ma guitare, tu cours vers la direction inverse du cop, je vais chercher tes vêtements et je te rejoins dans quelque seconde. Comme ça sa ira plus vite.

Il attendit qu'elle ait pris ses vêtements et sa guitare, il lui claqua une fesse pour être sur qu'elle se dépêche, puis il partit dans la direction de la mer. Comme il l'avait cru la police se mit à courir après lui. Il fit un arrêt brusque, récupérant les vêtements qui traînait sur le sable et avant que le cop arrive il repartit en courant. Étant agile et d'une grande vitesse il lui fut facile de rattrapé la jeune fille. Rendu à coté d'elle, il lui agrippa le poignet et la força à courir plus vite. Il la traîna le plus loin possible de l'agent, il finit par trouvé une petite grotte que l'agent ne pourrait sûrement pas trouvé à moins qu'il ait de vraiment bon yeux...

Il déposa les vêtements de la fille au sol et il regarda dans l'entré pour voir l'agent se diriger vers eux. Il se tourna, plaquant sa main sur la bouche de la jeune fille.

- Chut!

Il tendit l'oreille, percevant les pas de l'officier continuer son chemin. Il libéra la bouche de la jeune fille avant de l'embrasser avec fougue, goûtant son sperme qui restait. Il se décolla la regardant droit dans les yeux.

- Alors pour une première baise, tu en vis pas mal de chose!

Il s'approcha de l'oreille de la jeune fille.

- Et je peux t'en faire découvrir encore d'autre...

Il lui lécha l'oreille, avant de lui mordiller.

Je continuai inlassablement ce petit manège, cette fellation, jouant doucement parfois de ma langue sur son piercing. C'était assez étrange comme sensation. Pas du tout, comme je l'aurais pensé, la même sensation que le piercing qu'il avait sur la langue.
Mais alors que j'étais concentrée dans ce que je faisais, sentant qu'il appréciait, ses mains dans mes cheveux me forçant à accélérer, ce que je faisais avec une pointe de soumission, je le vis se retirer d'entre mes lèvres qui auraient voulu continuer leur petit manège.
Je levai alors les yeux pour chercher dans son regard ce qu'il s'apprêtait à faire et je le vis se caresser, se masturber, jusqu'à ce que je sente des giclées de sa semence venir se projeter contre mon visage et ma poitrine. C'était étrange comme sensation...chaud et cette odeur douceâtre qui me montait jusqu'aux narines.
J'étais restée comme bouche bée devant cette action, comme en admiration devant les sons de plaisir qui émanait de ses lèvres, et je ne me rendis compte de rien...
Ce ne fut que lorsqu'il me saisit par le bras, me forçant à me lever que je compris qu'il y avait un flic qui était sur la plage. Il nous avait probablement repérés...

- Prend mes vêtements et ma guitare, tu cours vers la direction inverse du cop, je vais chercher tes vêtements et je te rejoins dans quelque seconde. Comme ça sa ira plus vite.

Je m'exécutai sans poser la moindre objection. Malgré le fait que je doutais que mes jambes ne me lâches, tant elles tremblaient d'engourdissement...
Je saisit ses affaires et me mit à courir aussi vite que mes jambes me le permettaient. C'était un miracle pour moi que de voir que mon corps m'obéissait encore, malgré ce que l'inconnu lui avait fait subir.
Ma tête me tournait et mes yeux piquaient, mais je continuais ma course, inlassablement. Je ne voulais pas avoir de problème et encore moins en créer au jeune homme, qui était mon amant d'une nuit.
Une nuit qui se terminait bien durement...du moins je le pensais.
Car alors que je sentais que mes poumons allaient exploser, que mes forces allaient me lâcher et que je pensais tout abandonner, je sentis une main me prendre le poignet, ce qui me forçat à continuer. C'était difficile, car mon bas ventre me lançait et mes pieds me faisaient mal.
Mais je tins bon et heureusement, car le jeune homme s'engouffra dans une grotte et me plaqua sa main sur les lèvres. Cette action m'empâcha un peu plus de respirer, mais de toute manière, je ne voulais pas nous faire repérer.

- Chut!

Avais-je seulement le choix ? Il venait de retirer sa main, certe, mais ses lèvres m'embrassèrent avec une fougue dont je ne pensais pas pas quelqu'un capable, pas après la course que l'on venait de faire.
Décidément, il ne devait pas venir de cette planète...
Ce qu'il me dit ensuite, n'était pas faux. Car non seulement je venais de perdre ma virginité avec un inconnu, mais en plus, nous venions de nous faire courater par un flic, et qui sait encore ce qui allait m'arriver.
Comme quoi, mon intuition ne m'avait pas trompée. C'était bel et bien un jour étrange...
Son souffle au creu de mon oreille me fit frissoner. Tandis qu'il me disait ces mots. Je prit lentement ma robe pour m'essuyer un peu le visage, frissonant et finissant par la lacher, pour le regarder dans les yeux.

-Nous avons toute la nuit...non ?

Bien entendu, je doutais que nous devions déjà être demain. Je savais que j'avais cours dans l'après-midi...mais peut m'importait. Je voulais encore apprendre des choses. J'étais comme encore en état de transe, comme si le jeune homme était une drogue.
Je voulais qu'il me montre tout ce dont il était capable.
Lentement, je passai mes mains sur ses hanches fines...tellement fines. chaque marque sur son corps, je les traçais du bout des doigts. Par ces actions, je reprenais un peu de souffle. Mes poumons me faisaient encore un peu mal, mais je sentais que ma tête tournait moins...et que mon corps regagnait un peu de souplesse.
Le sperme qui me maculait commençait à sècher, laissant de petits sillons blancs sur ma peau déjà pâle. La fraîcheur de la grotte contrastait avec nos deux corps brûlant de désir...en tout cas, moi je brûlais de désir pour son corps filiforme.
Je pris ses mains et les mis sur mes fesses. Je voulais qu'il me carresse, encore...