♪ Take me down to the paradise city... ♪
Croire que l'ironie du sort s'abbat toujours sur les mêmes personnes serait être péssimiste. Soyons péssimiste un instant.
Depuis combien de temps était-elle là? Dix minutes? Vingt? Aller, accordons le bénéfice du doute et vas pour une demi heure... Et déjà il pleuvait, son parapluie n'avait pas supporter le voyage vu l'état quasi innouvrable de l'objet et elle avait... faim. pEcadille ceci dit en comparaison de l'endroit où elle se trouvait. Une ville dont elle ne conaissait rien, sachant qu'elle ne savait pas où aller et que ses bagages, bien que peu imposantes, lui donnait déjà mal aux mains et au dos.
Mais à part ça... tout vas bien dans le meilleurs des mondes!
Ah oui, on a oublié un petit détail qui a son importance: Elle ne vouait pas venir et ne le voulait certainement toujours pas.
♪ Where the grass is green and the girl are pretty... ♪
Une route de bitume longeait l'aéroport.
Elle choisit l'option du bus qui venait de s'arrèter à deux pas d'elle. Seul point positif de la chose en dehors du fait qu'elle ne savait pas du tout si elle devait vraiment prendre cet autocar? Elle n'avait pas a porter trop loin ses vaslises.
On se remonte le moral comme on peut dans ces conditions...
♪ I want you please take me Home. ♪
La jeune fille était loin, très loin de chez elle...
Elle se situait éxactement sur un siège à l'arriere d'un bus dans le pays du " soleil levant " et il pleuvait des cordes.
Le chauffeur lui avait affirmer que la ville dans laquelle se situait le pensionnait où elle allait n'était qu'a une heure de route.
Depuis deux heures ils étaient coincés dans un embouteillage à cause d'un accident et on ne devait être très loin de l'aéroport vu que le flux aérien semblait intenseau dessus de cette zone accidenté.
Dans ce cas la on prend son mal en patiente et on réajuste les écouteurs de son lexteur mp3 que l'on a pas quitté depuis l'arrivée de l'avion, seul réconfort familier .
♪ oh i want you please tak... !!!! ♪
Sauf quand il n'y a plus de batterie. -_-'
* Génial! *
Le bus sembla repartir comme pour s'excuser de cette panne, elle n'y fit même pas attention, rageant seule dans son coin avec ses pensées plutôt sombres.
Elle fut d'ailleurs assée surprise d'arriver avant la nuit... Mais elle n'allait certainement pas s'en plaindre, au contraire.
Et comme pour accompagner cette amélioration, lorsqu'elle descendit du bus la pluie venait de cesser et le soleil pointait le bout de son nez.
Un petit sourir passa sur le visage de la jeune fille, le premier depuis son arrivée...
* Après la pluie, le beau temps... *
L'autocar l'avait déposée dans le centre ville et le chauffeur lui avait dit que ce qu'elle cherchait se trouvait deux patés de maisons plus loin sur la droite. Gentil ce chauffeur.
Elle se dirigea donc vers la droite et tomba face à face avec... Une carte! Oui, une carte accrocher sur un arrèt d'autobus, très occidental mais elle ne s'en plaindrait pas non plus :p .
♪ Take me down to the paradise city... ♪
L'envie de fredonner lui était même venue... Et ces valises ne la génait pas le moins du monde finalement pour se déplacer. Elle regardait la rue et les maisons autour d'elle, les devantures de magasins etc... Elle devait surement faire un peu tache, la petite Occidentale parmis tous ça mais elle n'y pensait même pas.
Elle arriva alors à une intersection et la... ouch' . Elle avait à peu près parcourut la distance voulue mais la ou devait se trouver sa nouvelle demeure se tenait un marchant de... de quoi d'ailleurs? Mieu vaut ne pas savoir. Bref, toujours est il qu'elle était: Paumée, avec un grand P.
Certe elle ne devait pas être loins mais si elle partait par le mauvait chemin cela risquerait de faire encore plus loin après... -_-'.
Le coup du sort n'est jamais bien loin finalement.
Elle posa ses valises au coin de la rue et sortie une pièce de sa poche.
- Pile à droite et face à gauche.
Elle lança la pièce et la ratrapa de sa main gauche pour venir la plaquée sur le dessus de sa main gauche. Elle ne la souleva pas de suite, fermant les yeux un instant.
- P****n de pensionnat à la c** !
Aller savoir pourquoi mais c'était parfois soulageant de jurrer comme un charetier.