Dans des reves innachever... (libre)

Invité

Il n'y a pas a dire je me sentais vraiment seul, j'avais besoin de trouver un coin tranquille...
La semaine dernière j'avais déjà repérer ce toit, peu de monde y allait et je pense que les rare y allant devait être aussi un peu comme moi...
"Si tu cherche quelqu'un comme toi cherche le la ou toi tu est bien."
A vrai dire au fond je ne savais pas ce que je cherchait réellement, surement quelqu'un a qui parler, je ne sais pas.

Cela faisait 2 semaines que j'était arriver et je n'avais eu que peu de relation a vrai dire.. La plupart du temps je me trouvait seul a dessiner.

Apparemment ça reprenais comme avant, dans mes autre "vie"...
Nouveau pays, nouvelle culture, même personne...

Le toit était désert en ce jeudi après midi, le soleil était haut dans le ciel, mais il ne faisait pas spécialement chaud... Une grille parcourait tout le toit, étrange pour un lieux interdit ma fois...

Au moins les gens qui viendrait ne me regarderont pas bizarrement ici, après tout si l'ont vient c'est pour être un peu tranquille...

Le mp3, commençait déjà a faire entendre sa musique doucement, sans violence Indochine prenait son envol...

En face du port il y avait les forts
les bateau noir mouillait au remparts
et moi je en faisait qu'apercevoir
que toutes les nuits j'en avait envie
que je marchais dans des lieux écartés
que j'avais peur de passer dans ce monde

derrière le phare un peu au hasard
dans la lumières et bienvenue a terre
tu sais que les marins aiment bien les dauphins...

Je faisais ma ronde solitaire comme tous les jours, plongé comme d'habitude dans un livre. Je répondais bien sur aux questions des élèves, mais la chaleur de l'après-midi et les cours les empêchait de sortir en grand nombre. L'ouvrage que je consultais en ce moment traitait des chamans mexicains, c'était celui que j'avais proposé hier à Narita et je devais le rendre à la BU avant samedi, pour libérer ma carte à son intention. J'avais été un peu surpris qu'elle accepte ma proposition. Je ne l'avais jamais vu avec un homme ni accepter une proposition de sortie. Bien sur, l'attrait de la bibliothèque devait lui paraitre particulièrment fort,mais je ne pouvais m'empêcher de trouver ça étrange. J'espérais secrètement pouvoir en apprendre un peu plus sur ma collègue pendant cette journée, mais je n'avais aucune intention particulière, juste la faire sortir un peu du lycée, lui changer les idées et lui faire plaisir.

La cour et les couloirs du lycée étant maintenant vides, je retournais retrouver la fraicheur et l'ombre relative de l'intérieur du batiment. Des voix parvenaient régulièrement de l'intérieur des salles, professeurs expliquant une notion particulière, élèves chahutants ou discutant dans des salles libres de cours. Ce genre de réunions n'étaient pas interdites, mais j'ouvrais quand même parfois la porte pour demander aux présents de baisser un peu le volume, afin de ne pas déranger les autres cours.

Je montai les étages un à un et fint par me retrouver devant la porte qui menait au toit. Il y avait peu de chances d'y trouver quelqu'un, mais par acquis de conscience je montais les quelques marches y menant, ouvrant doucement la porte pour entrer sur la terrasse inondée de soleil qui se trouvait derrière. Je remarquais rapidement une élève inconnue, assise un peu plus loin. Sa tête semblait bouger au rythme d'une musique que je n'entendais pas.

*Qu'est ce qu'elle fait là? Elle ne devrait pas être en cours?*

Je m'approchais doucement d'elle et lui tapota l'épaule, attendant qu'elle se retourne et enlève ses écouteurs pour lui dire:

"Tu ne devrais pas rester ici tu sais, il est interdit aux élèves d'aller sur le toit et même si tu n'as pas cours, il est préférable que tu restes dans une des salles de classe ou en permanence. Tu es nouvelle ici? Comment t'appelles tu? "

J'avais refermé mon livre pour lui parler, mais même si ma simple présence pouvait lui attirer des ennuis, ma voix n'était pas menaçante, juste surprise de voir une élève sur le toit en pleine après midi. J'attendis sa réponse en souriant.

Invité

- Tu ne devrais pas rester ici tu sais, il est interdit aux élèves d'aller sur le toit et même si tu n'as pas cours, il est préférable que tu restes dans une des salles de classe ou en permanence. Tu es nouvelle ici? Comment t'appelles tu?

Voila les 1er mots qui me firent sursauter en fait, même si ce fut un sursaut mental...
Un homme de haute carrure me faisait face, il tenait un livre sur les shaman je croit...
Pour ma part la 1er choses que je pensait fut: un prof!
Je vais avoir des ennui..
après c'est cette phrase qui me fit sourire... "Tu es nouvelle ici? "
En fait c'était le nouvelle qui me gênait, bon c'est clair je ne ressemblait pas a un garçon, mais bon...
En même temps mes habit trop larges pouvait cacher jusqu'à mon sexe en fait ...
De plus j'était en plein dans le refrain de "je n'embrasse pas"...
...
Bon une chose est sur il ne ma pas crier dessus, et sa vois était pour le moins douceâtre.
Alors soit le fait qu'il mais pris pour une fille l'attendris, soit il est cool...

Je relevait la tête, et fixant ce visages oblong je répondit doucement...

- a vrai dire je ne pense pas êtres une fille... Enfin, c'est pas important, ont me confond tellement avec une fille que je mis suis habituer.
Âpres pour vous répondre monsieur, (il semblait surpris, c'était amusant) je suis nouvelle... Euh nouveaux! Je me nomme Shirow Asahi.
Je ne savais pas vraiment que c'était interdit! Si ca l'est pourquoi ne pas fermer la porte a clé? Mais j'aime bien me retrouver seul des fois pour dessiner ou lire...
Vous vous intéresser au shaman? Je dit sa au vue du bouquin que vous avez...

J'espère qu'il va pas me passer un savon, pour un nouveau, je n'est pas envie d'attirer plus spécialement les gens sur le dos, puisque l'ont m'évite, je préfère disparaitre.
Avec un peu de chance il va être gentils et me laisser un peu la...
Il fait beaux le ciel semble dégager et en plus en soi je ne faisait rien de mal.

- a vrai dire je ne pense pas êtres une fille... Enfin, c'est pas important, ont me confond tellement avec une fille que je mis suis habituer.
Âpres pour vous répondre monsieur, (il semblait surpris, c'était amusant) je suis nouvelle... Euh nouveaux! Je me nomme Shirow Asahi.
Je ne savais pas vraiment que c'était interdit! Si ca l'est pourquoi ne pas fermer la porte a clé? Mais j'aime bien me retrouver seul des fois pour dessiner ou lire...
Vous vous intéresser au shaman? Je dit sa au vue du bouquin que vous avez...

La voix qui me parvint en réponse était clairement masculine et je me rendais compte de mon erreur en sursautant de surprise. De dos on aurait vraiment cru voir une jeune femme, mais son visage et sa voix avaient des traits clairement masculins. Sa confusion me fit sourire, même lui s'y trompait parfois.Je préférais ne pas m'asseoir de suite, je devais conserver une certaine dignité en tant que surveillant.
Il semblait avoir compris mes intentions mais me répondit en français, une langue que je maîtrisais bien au niveau scolaire mais que j'avais peu l'habitude de pratiquer. J'hésitais donc longuement pour trouver mes mots et lui répondit en français avec un remarquable accent japonais:

"Vous savez Asashi-san, il existe un nombre important de règles stupides et non appliquées dans ce lycée. En fait celle là est toujours en vigueur, mais est obsolète depuis qu'on a fait installer des grillages de sécurité tout autour du toit. Ce qui explique que personne n'ait été puni pour être monté jusqu'ici alors que plusieurs élèves y ont été surpris. En fait ceux qui ont été punis, l'ont été pour les activités qu'ils avaient sur ce toit Mais je ne rentrerai pas dans les détails là dessus. Pour tout te dire, ce n'est pas moi qui te ramènerai chez le proviseur, tu sembles être assez mur pour savoir ce qui est le mieux pour toi. En plus je n'ai pas très envie de redescendre 4 étages pour te trainer jusqu'à son bureau. C'est juste un conseil que je te donne, il y a une température plus agréable à l'intérieur.
Oui mon livre traite des chamans mexicains, mais je dois avouer que ça pourrait tout aussi bien être sur la cuisine indienne ou les traditions tibétaines. J'ai tendance à lire à peu près tout ce qui me tombe sous la main."

Je m'assis ensuite à bonne distance, et regardait le jeune androgyne en souriant, attendant patiemment sa réponse.

Invité

- Vous savez Asashi-san, il existe un nombre important de règles stupides et non appliquées dans ce lycée. En fait celle là est toujours en vigueur, mais est obsolète depuis qu'on a fait installer des grillages de sécurité tout autour du toit. Ce qui explique que personne n'ait été puni pour être monté jusqu'ici alors que plusieurs élèves y ont été surpris. En fait ceux qui ont été punis, l'ont été pour les activités qu'ils avaient sur ce toit Mais je ne rentrerai pas dans les détails là dessus. Pour tout te dire, ce n'est pas moi qui te ramènerai chez le proviseur, tu sembles être assez mur pour savoir ce qui est le mieux pour toi. En plus je n'ai pas très envie de redescendre 4 étages pour te trainer jusqu'à son bureau. C'est juste un conseil que je te donne, il y a une température plus agréable à l'intérieur.
Oui mon livre traite des chamans mexicains, mais je dois avouer que ça pourrait tout aussi bien être sur la cuisine indienne ou les traditions tibétaines. J'ai tendance à lire à peu près tout ce qui me tombe sous la main.

Il me souris, apparemment vu son attitude je doit l'intriguer.
Il est même aller jusqu'à s'assoir. Il semble plus intelligent que la moyenne des humain que j'ai croisé, sa peut être intéressant de dialoguer avec lui...
Enfin du moment que je peut rester un peu la, dehors...

La musique venait de s'arrêter, je relançait un nouveau cd Cette fois je mettait du vieux rock, la b.o du "return of the living dead"...
Je laissait passes un peu de temps, l'air de rien, je vaquait a regarder mon mp3.
J'aimais bien a certain moment me faire "désiré"
Caprice me dirié vous, pour moi c'était surtout un jeu.
Sans qu'il s'y attendent je répondis, sur un ton légèrement aigu.

- Vous me semblez bien différent des profs que je connait, senpai, je doit dire que vous devez être titulaire sous peu, votre jeune ages me sauve la mise. Je connait bon nombre de profs qui n'aurait pas chercher plus loin le dialogue avec moi...
En effet comme dit bon nombre de règles ne servent a rien, et la preuve est la: des grilles ont été placé ci et la. Comme si cela nous incitait a braver ces interdit, comme si vous ne saviez pas que nous monterions la haut. Quand au élève punis, je pense connaitre légèrement les choses qu'ils ont put faire ... Âpres tout ont peut dire que ses nos hormones! (je croit qu'il semblait passablement surpris d'entendre un jeune parler comme cela)
Enfin vus que ni vous ni moi ne semble disposer a de mauvaises intention et ni a nuire a l'autre, et vus que vous vous êtes assis, je présume que vous voulez parler un peu...
Ou alors je me trompe totalement.
Hum vous aimez lire tout et n'importe quoi? Et bien vous me surprenner, la plupart des enseignants que je connaissent excelle dans leurs matières mais a l'extérieur de leurs profession, ils sont dépasser.
Pour ma part j'aime aussi énormément la lecture, mais seul les livres parlant de sciences fiction ou fantastique m'intéresse, le reste est trop "standardisé" pour moi.
Les cliché reste vus et revus...
Sa en devient légèrement agaçant...

Je me taisait enfin, bien sur je n'avait pas tout dit, j'avais un peu abréger mon dialogue.
Je suis sur qu'il v me qualifier d'ados "rebelle".
Âpres mon look ne m'aide pas, je le reconnait.
Voyons ce qu'il va répondre, et son attitude a venir.
Au vu de mes paroles je dirait c'est "sa passe, ou sa casse"...

Shirow manipula son MP3 pendant un long moment, ce que je trouvais d'une impolitesse rare et ça m'agaça quand même un peu. Un peu plus et je le lui arrachais des mains pour le jeter par dessus la grille. Shirow se décida quand même à parler et se lança dans une nouvelle tirade, toujours en français. J'en compris le sens global, mais certains mots m'étaient inconnus et je dus réfléchir un moment pour tout comprendre:

- Vous me semblez bien différent des profs que je connait, senpai, je doit dire que vous devez être titulaire sous peu, votre jeune ages me sauve la mise. Je connait bon nombre de profs qui n'aurait pas chercher plus loin le dialogue avec moi...
En effet comme dit bon nombre de règles ne servent a rien, et la preuve est la: des grilles ont été placé ci et la. Comme si cela nous incitait a braver ces interdit, comme si vous ne saviez pas que nous monterions la haut. Quand au élève punis, je pense connaitre légèrement les choses qu'ils ont put faire ... Âpres tout ont peut dire que ses nos hormones! (je croit qu'il semblait passablement surpris d'entendre un jeune parler comme cela)
Enfin vus que ni vous ni moi ne semble disposer a de mauvaises intention et ni a nuire a l'autre, et vus que vous vous êtes assis, je présume que vous voulez parler un peu...
Ou alors je me trompe totalement.
Hum vous aimez lire tout et n'importe quoi? Et bien vous me surprenner, la plupart des enseignants que je connaissent excelle dans leurs matières mais a l'extérieur de leurs profession, ils sont dépasser.
Pour ma part j'aime aussi énormément la lecture, mais seul les livres parlant de sciences fiction ou fantastique m'intéresse, le reste est trop "standardisé" pour moi.
Les cliché reste vus et revus...
Sa en devient légèrement agaçant."

Je réfléchis à ma réponse en fronçant les sourcils, puis me lançai, ne nombreuses pause parsemant mon récit pour chercher un mot ou un autre:

" La raison pour laquelle je suis différent des autres professeurs est surement que je n'en suis pas un. je ne suis que surveillant dans ce lycée et je ne compte pas devenir professeur avant plusieurs années. Mon rôle n'est donc pas de faire respecter le règlement à la lettre, mais de veiller à la sécurité des élèves et au respect de l'ordre et du calme. Je ne peux donc pas vous empêcher de venir sur ce toit, si vous en avez envie et vous punir ne servira je pense à rien. Je vous conseille donc juste de ne pas vous y réfugier trop souvent, un accident est toujours possible et les membres du personnel venant rarement par ici, ils ne seront pas en mesure de vous aider rapidement.

Quant à ce qui s'est passé sur ce toit, j'aurais nettement préféré que ce ne soit que des adolescents curieux s'isolant pour apprendre à mieux se connaitre. J'aurais trouvé ça gênant, mais logique. "

Je fis à nouveau une longue pause,à la fois pour trouver mes mots et appuyer ce que je venais de dire. Je repris ensuite calmement:

"Pour vos gouts littéraires je ne peux pas être d'accord avec vous. Les romans se déroulant à notre époque ou les oeuvres de non-fiction ne doivent pas être prises comme un ramassis de préjugés, mais comme la vision d'une société donnée à une époque donnée. Les préjugés qui y apparaissent ne vous paraissent donc des préjugés que dans la mesure où vous vivez dans cette société et êtes en mesure de les démentir. Un étranger lisant un de ces romans considérera en revanche que ce qui y est écrit est la vérité. Bien souvent aussi les préjugés sont caricaturaux et là uniquement pour se moquer de soi même. Par exemple, la grande majorité des européens pensent que notre sport favori est le sumo et les arts martiaux. Les romans japonais écrits pour des européens sont donc pourvus denombreuses références aux arts martiaux et au sumo, alors que les japonais sont surtout des fans de baseball ou de ses dérivés. Je vous conseillerais donc de diversifier vos lectures en consultant des ouvrages de psychologie ou de sociologie et de vous demander, pour tout ce que vous lirez, ce que chaque élément de société décrit représente réellement. Même les ouvrages de science fiction sont des reflets de notre société et de ce que nous imaginons de son évolution. Aucun livre n'est écrit de façon neutre et uniquement descriptive. Un auteur est toujours influencé par la société dans laquelle il vit et par ses propres croyances et elles sont toujours présentes dans ses oeuvres, même si elles ne sont pas évidentes au premier coup d'oeil."

Je m'arrêtais là et et regardait autour de moi avant de me lever. Je devais reprendre ma ronde et retourner dans l'enceinte du lycée.

"Je vous conseille également d'apprendre très rapidement le japonais, si vous comptez apprendre quelque chose ici. Il se trouve que les japonais n'aiment pas trop les langues étrangères et vous risquez d'avoir des difficultés à vous faire comprendre si vous ne parlez que français. Je dois reprendre ma ronde donc si vous le souhaitez, je peux vous conduire à une salle vide où vous pourrez rester seul et en sécurité dans l'enceinte du lycée."

Invité

Ah et bien non, il ne semblait pas si différent des autres au final...
Bah ça ne m'étonnait plus...
Comme si il croyait que je n'avait pas un minimum de connaissance, enfin partir dans un débat littéraire ou non ne servirait a rien, comme bon nombres de personne, a savoir toutes il n'a pas compris le sens de mes mots...
Ce n'est pas important, personne ne comprend ce que je dit finalement, même quand ce sont des français...
Ce n'est pas un enseignant, enfin c'est un futur enseignant..
Sur certain point je n'est fait que me tromper a moitie...
Bref écourtons cette entretient, j'ai pas envie de me prendre une colle, inutile...

il me regardait debout et après ces dire, il attendait une réponse évidente, sur quoi je répondis assez vite (vus son ton, il était facile a analyser) et dans du japonais, pour que la compréhension soit plus facile, car vus qu'il avait froncer les sourcil, j'en déduit que mon français ne lui convenait pas...
Et aussi pour lui montrer que je maitrisait un peu cette langue comme même.

- Hum, oui oui... J'ai pas envie d'argumenter spécialement pardonné moi. Et en fait je préfère rester ici, je n'est pas envi de me frotter au autres gens pour le moment...
Je préfère rester ici, je trouverai sans doutes plus facilement d'idée...
Mais ne vous inquiété pas je redescendrait d'ici 20, 25 minutes...

- Hum, oui oui... J'ai pas envie d'argumenter spécialement pardonné moi. Et en fait je préfère rester ici, je n'est pas envi de me frotter au autres gens pour le moment...
Je préfère rester ici, je trouverai sans doutes plus facilement d'idée...
Mais ne vous inquiété pas je redescendrait d'ici 20, 25 minutes...

Comme prévu, il préféra clore la discussion. Tout en lui indiquait un refus de l'autorité, que je représentais également. Vu son age, c'était normal, et ça lui passerait surement. Quitte à le vexer encore plus je préférais ajouter en français, pour qu'il comprenne entièrement le sens de mes paroles:

"Vous savez, Asashi-san, je n'ai pas le pouvoir de vous punir gravement pour ce que vous faites sur ce toit. Je n'en ai pas non plus l'envie en même temps. Je ne sais pas ce qui vous a fait quitter la France pour venir ici, mais que ça vous plaise ou non, vous êtes désormais au Japon et il y a des règles que vous devrez respecter. En particulier en ce qui concerne l'assudité à vos cours, la ponctualité et le respect. C'est surement notre plus gros défaut à vos yeux, mais nous tenons ces trois principes en très haute estime et si vous ne les respectez pas vous en subirez les conséquences. Ce n'est pas une menace de ma part, juste une réalité. Ce que je vous dis concerne principalement la langue. Nous acceptons aisément que vous fassiez des erreurs dans notre langue et ne vous le reprocherons pas. Ce que je veux dire par là, c'est que vous êtes au Japon dans un lycée japonais, c'est donc à vous de vous adapter aux habitudes des élèves et des professeurs et pas à nous d'apprendre le français pour vous faire plaisir. Vous disposez de bonnes bases, utilisez les ça ne pourra que vous être profitable. "

Sur ces paroles, je le saluais par la courte révérence en usage quand je m'adressais à un élève et me détournais pour passer la porte et redescendre à l'étage inférieur, reprenant ma ronde sans me préoccuper plus de lui.

Invité

- Vous savez, Asashi-san, je n'ai pas le pouvoir de vous punir gravement pour ce que vous faites sur ce toit. Je n'en ai pas non plus l'envie en même temps. Je ne sais pas ce qui vous a fait quitter la France pour venir ici, mais que ça vous plaise ou non, vous êtes désormais au Japon et il y a des règles que vous devrez respecter. En particulier en ce qui concerne l'assudité à vos cours, la ponctualité et le respect. C'est surement notre plus gros défaut à vos yeux, mais nous tenons ces trois principes en très haute estime et si vous ne les respectez pas vous en subirez les conséquences. Ce n'est pas une menace de ma part, juste une réalité. Ce que je vous dis concerne principalement la langue. Nous acceptons aisément que vous fassiez des erreurs dans notre langue et ne vous le reprocherons pas. Ce que je veux dire par là, c'est que vous êtes au Japon dans un lycée japonais, c'est donc à vous de vous adapter aux habitudes des élèves et des professeurs et pas à nous d'apprendre le français pour vous faire plaisir. Vous disposez de bonnes bases, utilisez les ça ne pourra que vous être profitable.

Hum il était bien différent des autres.. Je croit quand parlant français il voulait me montrer qu'il n'était pas ignorant de ma langue, mais après il ne fallait pas qu'il s'imagine, que je soit un rebelle, il est vrai je n'aimait pas l'autorité mais après je me pliais au règles comme même...

Il se leva s'inclina devant moi et se dirigeait vers la sorti...
Bizarrement je n'avais pas envie qu'il parte? aussi je me mis a dire en japonais, des choses que je ne disait que très rarement...

- Senpai! Ne partez pas!
Je suis souvent dure avec les gens, et froid, mais après, je le fait, car la plupart des personne jusqu'à maintenant mon toujours fait souffrir, c'est une sorte de protection je pense...
Tout les contact que j'ai eu se sont toujours solder par de la peine, je mi suis habituer, et je suis devenue dur envers euh...
N'allez pas croire que je ne veut pas me fier au règles, j'ai toujours vécu a paris, et c'est par habitudes que je parle français, comme le reste, ne vous en faites pas je me plierais au règles comme tout le monde...
Après je n'est pas vraiment envie que vous partie je doit avouer, pour une fois que l'ont n'est pas dur avec moi.
Vous savez ou je vivait, les personne différente sont discriminées, et a vrai dire la bas, j'était souvent seul, peu de monde voulait parler avec moi, ont me trouvait trop "étrange"...
Alors j'ai prie l'habitude de me renfermer. Je ne voit pratiquement pas mes parents, vous savez, ils sont toujours affairés avec leurs travail...

Je ne pus en dire plus.
Je sentais vraiment que j'était a bouts.
Depuis longtemps je repoussait tout sa, et la a vrai dire, je n'en pouvait plus.
Je sentais que les larme était au bord de mes yeux, se faisant je me mis ma tète entre mes genou, pour évacuer cette brusque monté de chagrin...

Peut être senpai était parti...
J'etait surement seul a présent comme toujours...

Je venais juste de poser ma main sur la poignée de la porte quand j'entendis une voix m'appeller:

- Senpai! Ne partez pas!

Je me figeais quelques secondes et la voix continua dans un registre que je ne connaissais que trop bien moi même.

-Je suis souvent dure avec les gens, et froid, mais après, je le fait, car la plupart des personne jusqu'à maintenant mon toujours fait souffrir, c'est une sorte de protection je pense...
Tout les contact que j'ai eu se sont toujours solder par de la peine, je mi suis habituer, et je suis devenue dur envers euh...
N'allez pas croire que je ne veut pas me fier au règles, j'ai toujours vécu a paris, et c'est par habitudes que je parle français, comme le reste, ne vous en faites pas je me plierais au règles comme tout le monde...
Après je n'est pas vraiment envie que vous partie je doit avouer, pour une fois que l'ont n'est pas dur avec moi.
Vous savez ou je vivait, les personne différente sont discriminées, et a vrai dire la bas, j'était souvent seul, peu de monde voulait parler avec moi, ont me trouvait trop "étrange"...
Alors j'ai prie l'habitude de me renfermer. Je ne voit pratiquement pas mes parents, vous savez, ils sont toujours affairés avec leurs travail...

Je restais ainsi face à la porte à écouter ces mots que j'aurais pu prononcer il y a quelques années. Je me retournais ensuite et le vit la tête dans les genoux. Je revins jusqu'à lui et m'assit à nouveau à côté de lui. Je réfléchis un instant sur mes propres sentiments puis lui répondit en japonais et en parlant lentement pour qu'il comprenne mieux:

"Ne baissez pas la tête quand vous dites cela, Asashi san, et essayez de ne pas leur donner de raison de se moquer de vous. Je pense qu'en fin de compte, mon pays vous plaira. Ici les jeunes se fichent de l'aparence physique, chacun est véritablement libre de faire ce qu'il lui plait. Tout ce que nous vous demandons c'est de porter un uniforme dans l'enceinte du lycée. Une fois dehors vous pourrez vous habiller comme vous le voudrez, ça paraitra peut être bizarre mais personne ne vous le fera remarquer. Je ne sais pas quel métier ont vos parents, ni ce qui vous a donné envie d'être différent, mais je sais ce que cela fait d'être moqué par ses camarades pour quelque chose dont nous ne sommes pas responsables. Ici nous ne nous moquons pas de l'apparence sociale, mais nous avons une conscience importante du statut social des gens.

Quoique je fasse de ma vie, je serai toujours un fils de paysans. Le seul moyen que j'ai trouvé pour changer ça, c'est de ne pas en parler et de faire en sorte que ça ne se remarque pas. J'ai en quelque sorte renié mon statut pour être accepté. Je l'ai modifié pour celui d'un étudiant brillant et travailleur ce qui est nettement plus apprécié en ville. Mais je sais à quel point cela fait mal de ne pas pouvoir dire d'où l'on vient sans être dénigré. Je suis redevenu fier de mes parents quand j'ai eu 20 ans, et que je me suis rendu compte qu'ils étaient certainement plus utiles à la vie que mes collègues futurs banquiers ou futurs chefs d'entreprise. Avant cela, je retournais chez moi par obligation, maintenant je le fais avec plaisir. Je suis heureux de reprendre contact avec la vie que j'ai connue et de les aider pour les moissons. Vos parents ne sont surement pas les meilleurs parents du monde, personne ne l'est, mais vous devez apprendre à comprendre leurs faiblesses et à leur pardonner.

Je peux vous assurer qu'ici vous resterez un étranger toute votre vie. Même après avoir vécu au Japon pendant vingt ans, vous ne serez jamais accepté comme un japonais à part entière. C'est un fait établi, mais ne donnez à personne le droit de vous le faire remarquer. Apprenez nos coutumes et notre mode de vie, et vous empêcherez quiconque de vous rappeller votre statut social. Ils le penseront toujours, mais au moins ils ne vous le diront pas. "

Je me tus ensuite pour lui laisser le temps de se reprendre.

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